Jour de l'An
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
candaul,
voisins,
sauna,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
échange,
attache,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... véritable refus. D’ailleurs lorsque mon autre main caresse l’autre téton, elle ferme les yeux. Elle ne veut pas voir, mais ne se refuse pas. Mais je sais par expérience qu’il suffit d’un rien pour briser la magie d’un premier contact avec une « innocente ». C’est ce qu’il y a de meilleurs, bien mieux que les partenaires expérimentés, amener une femme à se laisser aller, transgresser les règles que l’éducation sociale lui a imposées pour ne plus penser qu’à l’instant présent et le plaisir que les caresses lui apportent.
Les yeux fermés, elle accepte mon baiser. Les yeux fermés, elle se laisse caresser. Mes mains pétrissent ses seins et jouent avec les pointes maintenant parfaitement érigées.
Les yeux fermés, elle me laisse partir en exploration plus bas alors que ma bouche remplace mes doigts.
Les yeux ouverts, elle me regarde plonger ma tête entre ses cuisses que j’ai repoussées sans rencontrer de grande résistance.
Alors elle se laisse vraiment aller. Ses gémissements m’accompagnent dans la découverte de son intimité.
Elle gronde lorsque j’extirpe son petit bouton de sa gangue pour l’aspirer et le lécher avec avidité.
Elle parle, des « oui » qui osent à peine sortir de ses lèvres alors que je pousse deux doigts dans sa fente, que je la branle doucement et qu’en les crispant je pousse à l’arrière de son clitoris, me le rendant encore plus accessible.
Elle place sa main sur ses lèvres lorsque sa jouissance arrive et m’inonde. Une main qui retient à peine ...
... ses cris de plaisirs.
Je ne m’attendais pas à tant de facilité ni de cette réactivité même si elle consistait en un abandon total à mes caresses. Un abandon d’ailleurs très égoïste, car à aucun moment elle n’a fait un geste pour me rendre, au moins une partie, de mes caresses.
Je saurai plus tard que mon initiative avait déclenché des souvenirs de sa jeunesse. Une amie qui l’avait « séduite » dans une cabine de piscine, cabine dans laquelle elles s’étaient retrouvées plusieurs fois pour des agapes de plus en plus torrides. Souvenirs refoulés, car « coupables », sa sexualité résolument hétéro ne l’envisageant même pas.
Nous sommes en sueur. Alors que je m’assieds à côté d’elle, elle me regarde avec à la fois une certaine honte dans le regard, mais un sourire à peine perceptible sur ses lèvres. Elle est déjà en train de se ressaisir, de refermer cette parenthèse, qu’elle va essayer d’oublier. Mais moi, je ne veux pas. Mon idée, c’est que la parenthèse ne se referme pas, d’abord égoïstement parce que moi aussi je veux ma part de plaisir, mais aussi pour cette idée qui commence à germer dans mon cerveau…
Alors je me penche sur elle et l’embrasse. Un baiser d’abord doux, contact de lèvres humides et odorantes, puis avec ma langue qui force, avec facilité, le passage, pour aller affronter la sienne qui se réveille à mes sollicitations. Mais elle reste encore trop passive à mon goût. Alors je me déplace. Je m’assieds sur sa banquette, à côté d’elle, me tournant vers elle, ...