Changement d'état imprévu
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
vacances,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
pénétratio,
init,
Auteur: Maegwïn, Source: Revebebe
... choix.
— Je ne sais pas… j’ai fait comme je le sentais… dis-je d’un ton d’excuse.
— Ta petite amie aura de la chance !
Ah oui, c’est vrai que ce n’était pas elle, ma petite amie. Je le savais, mais il fallait que je m’y fasse.
— Oui, enfin, on verra…
Je ne voulais pas m’attarder plus longtemps sur la question. Je voulais préserver ce moment. À présent, j’étais plus décidé. Je voulais aller plus loin, c’était ma seule occasion d’avoir ma première fois. Mais il n’y avait pas que cela. Je voulais être proche d’elle, ne pas me séparer d’elle si vite, de son corps, de son charme, de sa présence. La mère de mon pote était complètement oubliée à présent. Elle n’existait plus. C’était une toute autre femme que j’avais devant moi. Une femme terriblement sexuée, intimidante, et d’un seul coup je ne savais plus si j’y avais droit. Mais il y avait son sourire, et ses yeux, qui m’encourageaient. Elle passa sa main sur mon côté, remonta sur mon épaule, et finalement prit ma main.
— Viens.
Nous quittâmes le balcon en passant par la porte vitrée qu’elle referma derrière moi. L’air frais de la climatisation m’enveloppa agréablement, calmant l’intense chaleur que je ressentais. Mais il en aurait fallu plus pour calmer mes ardeurs. Elle marchait devant moi quand nous traversâmes le salon puis le couloir, ses jolies fesses se déhanchant juste sous mon nez, aucune cellulite, c’était une sportive. Et son sexe à peine visible… Enfin nous entrâmes dans la chambre. Elle me jeta ...
... encore un regard en souriant gentiment, et s’allongea sur le lit, sur le côté.
— Viens, répéta-t-elle.
L’ampleur de ce que j’étais sur le point de faire me sauta enfin aux yeux. Mon dépucelage. Jusqu’à présent, vous l’aurez compris, le sexe pour moi appartenait au domaine de la science-fiction. Ce n’était pas moi qui le faisais, ni mes pairs, c’était les autres, les adultes, quand j’étais – quand nous étions – juste de vieux adolescents. Bien sûr, je savais que plus tard dans ma vie, selon toute probabilité, j’aurais fait l’amour, et je le ferais sans doute de temps en temps, mais il ne m’était pas arrivé de le croire concrètement. Et voilà que ça m’arrivait, cette chose qui n’était même pas tant attendue, que je désirais sans y croire !
Je m’allongeai sur le lit à mon tour, à côté d’elle. C’était plus parce que je me disais que c’était ce que j’étais censé faire à ce moment qu’une réelle envie. Mais une fois que je sentis à nouveau sa chaleur près de moi, je ne pus m’empêcher de l’enlacer. Ma main passa sur son dos, descendit, avant de s’arrêter, brusquement peut-être, sur le bas de sa taille.
— Tu peux aller plus bas si tu veux ! chuchota-t-elle.
J’hésitai. Je le fis. Je me mis à caresser ses fesses, douces et fermes, agréables. Elle exécuta un mouvement qui me fit me tourner sur le dos, tandis qu’elle se positionnait au-dessus de moi. Sa poitrine généreuse était toute proche de mon visage, j’étais toujours éberlué de ce qui m’était donné à voir. Et à toucher ...