Changement d'état imprévu
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
vacances,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
pénétratio,
init,
Auteur: Maegwïn, Source: Revebebe
... aussi. Et tellement plus encore.
— Tu n’as pas à avoir peur ! fit-elle encore, rassurante.
Ben non, ça je savais ! Mais quand même, ce que je vivais était trop énorme pour moi, en un sens. Mais je n’avais aucune envie d’arrêter. Je me rendis compte que je tremblais un peu.
Elle se mit à califourchon sur moi, son sexe posé sur mon ventre. Humidité encore. Puis elle descendit, ou recula, je sentis la chair de son sexe contre mon gland, et elle vint s’empaler sur ma verge en la guidant avec sa main. Je fermai les yeux, pour me concentrer sur cette nouveauté que je ressentais à cet endroit intime de mon anatomie. Elle était un peu moins étroite que je ne le pensais – peut-être parce qu’elle avait déjà eu un enfant, je ne sais pas. Je l’entendis inspirer brusquement tandis qu’elle exécutait ce mouvement.
Elle se redressa, s’appuyant sur ses coudes, et son bassin commença à s’agiter en rythme. Elle avait fermé les paupières – Pensait-elle à moi ? Fantasmait-elle sur n’importe quoi d’autre ? – et respirait lourdement. Quant à moi, je me remis à caresser ses seins, parfois je rouvrais les yeux, parfois les refermais, suivant que je voulais voir ou ressentir. J’aurais aimé pouvoir faire les deux à la fois. Mes mains descendirent de ses seins pour enlacer sa taille restée fine.
Retrouvant un instant mes esprits, je me mis à mon tour à jouer du bassin, et elle sembla apprécier, car j’entrevis son sourire s’élargir. L’excitation pour moi était à son comble, et – reliquat ...
... peut-être d’une éducation féministe – je m’efforçai de tenir, sans savoir comment, de ne pas jouir tout de suite, pour lui laisser le temps de ressentir elle-même son plaisir. Celui que je lui donnais. Lorsque ses gémissements devinrent plus francs, plus explicites, l’extase en moi était tellement magique que j’eus un nouvel orgasme. J’exhalai un râle auquel répondit son propre cri. Ses mains se crispèrent sur mes épaules et elle s’affala sur moi. Elle avait joui de mon propre plaisir.
Je ne saurais dire si tout cela avait duré longtemps. J’aurais voulu que ça dure toujours. Elle se coucha près de moi et émit un long soupir d’aise. Nous sommes restés un long moment l’un à côté de l’autre, elle me caressait doucement le torse, et j’hésitai à l’enlacer encore. Petit à petit, elle redevenait la mère de mon ami.
— Mireille…
Je ne savais pas exactement quoi lui dire, mais elle me coupa avant que je trouve les mots.
— Ne dis rien.
Elle se redressa à demi, et appuya sa tête sur sa main, son coude posé sur le lit.
— Je ne regrette rien de tout ça.
— Moi non plus…
— Ça je me doute bien ! fit-elle en riant. C’était très bien.
Et elle déposa un baiser sur mon front. Elle se leva alors, et sortit de la chambre. Je ne savais pas si je devais la suivre. Je décidai de rester là, pris d’une soudaine pudeur à l’idée qu’elle me voit encore dans mon plus simple appareil. Elle était déjà habillée quand elle revint, et tenait dans ses bras le paquet de mes propres vêtements. ...