Changement d'état imprévu
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
vacances,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
pénétratio,
init,
Auteur: Maegwïn, Source: Revebebe
... corps que je jugeais malingre.
— Dis donc, tu as presque autant de poils que Philippe !
Ça aurait pu être maladroit – comme quoi les « non-initiés » n’ont pas le monopole de la maladresse – mais en cet instant, je m’en moquais éperdument. Je la serrai dans mes bras – mon dieu ! ses seins qui se pressent contre mon torse ! Et mon sexe… à nouveau en érection… contre le sien… Je penchai la tête, l’embrassai à mon tour, nos langues se rencontrèrent, se caressèrent l’une sur l’autre, que m’arrivait-il ? Mais elle s’écarta, baissa la tête et me jeta un regard par en dessous. Elle souriait, mais il y avait comme un soupçon de reproche, elle secoua la tête. Je me sentis le cœur brisé. Peut-être étais-je tombé amoureux sans m’en rendre compte, sans doute avais-je pris le désir pour de l’amour, à présent les choses étaient un peu plus claires. Il me fallait juste les admettre.
Toujours intimidé par la découverte de son corps, je recommençais à l’admirer. Un triangle de poils sombres couvrait son sexe. Ma main prolongea mon regard. Je caressai ses poils timidement, puis de façon plus appuyée, ma main s’engouffrant enfin entre ses cuisses, elle tressaillit. C’était humide, je ne m’y attendais pas, même si à la réflexion je savais déjà à l’époque qu’il devait en être ainsi, par les conversations que l’on peut avoir entre copains (et un bouquin de sexologie offert par ma mère). Je continuai, m’enhardis sans même m’en rendre compte, explorant les muqueuses, et découvris enfin ...
... comment c’était en vrai, un clitoris. J’en effleurai le bout de mon pouce, elle ferma fort les yeux.
— Doucement… fit-elle, pour prévenir une maladresse à cet endroit.
Je descendis juste un peu plus bas, caressai encore. Je l’entendis pousser un râle assez aigu. Un de mes doigts s’enfonça en elle, puis un autre et je commençai à les bouger à l’intérieur, d’abord pour parcourir son vagin, toujours en exploration, pour voir comment ça faisait, puis voyant ses réactions, pour lui donner du plaisir. Elle renversa sa tête en arrière et m’agrippa par les épaules pour me presser à nouveau contre elle, ma tête entre ses seins. Surpris, j’arrêtai un instant mon mouvement.
— Continue ! Continue ! Ne t’arrête pas !
Elle haletait.
À vos ordres, maîtresse. Entièrement en son pouvoir, je recommençai, allant plus rapidement, presque apeuré de ce qui m’arrivait. Mes doigts allaient et venaient en elle, imprimaient des mouvements plus variés, tandis que j’essayai de capter ses réactions, décelant ce qu’elle aimait le plus. Enfin elle poussa un cri étouffé, ses doigts se crispant sur moi, son bassin s’agita pour se coller plus encore à moi. Puis elle se détendit et soupira longuement.
— Je ne sais pas comment tu fais, mais tu es très doué, tu sais.
Ah bon ! Ça, je ne m’y attendais pas non plus. À la réflexion, je pense qu’à cette époque elle était en manque, et que le moindre contact un peu appuyé lui faisait de l’effet. Ou alors, je suis un super bon coup de façon innée. Au ...