Solange, jeune fille à éduquer (1) - Histoires de Sexe

Solange, jeune fille à éduquer (1)

... pas, fessez-moi le cul encore. C’est la première fois, c’est si violent mais si... bon.

Mon voisin augmente progressivement le rythme et l’intensité de ses claques mais aussi l’endroit qu’il frappe, ses mains s’abattant maintenant un peu plus bas, sur la zone entre le haut des cuisses et la naissance des fesses. Mon plaisir augmente crescendo avec la rythmicité des tapes, mon sexe est en feu et mes gémissements deviennent de plus en plus sonores. Puis, M Franck descend encore, s’en prenant au haut de mes cuisses, qu’il frappe cependant moins violemment, avant de revenir à mes deux lobes charnus.

J’ai enfoui ma tête dans le coussin alors qu’avec mes deux mains, je pince mes tétons.

— Encore, encore, plus fort…

Les claques deviennent de plus en plus appuyées et alternent, sans la moindre interruption, droite et gauche. Mes fesses me brûlent en continu mais, malgré cela, mon excitation est à son comble et je ne gémis plus, ce sont maintenant de véritables cris, où se mêlent plaisir et brûlure, que je pousse à chaque fois que la main s’abat sur moi. Je n’ai plus aucun contrôle sur la situation, tout mon corps se tend à chaque claque et mon bas ventre est traversé d’ondes de plaisir.

— T’aimes ça, comme la bonne petite chienne que t’es et qu’il faut dresser, susurre monsieur Franck à mon oreille.

Ces mots, je les accepte sans protester, pourtant, habituellement, je ne suis pas du tout fan des insultes. Mais là, au contraire, ces paroles rabaissantes m’excitent, ...

... je ne me reconnais plus, mais impossible de lutter contre ce désir, nouveau pour moi, d’être soumise au bon vouloir de cet homme. Mon acceptation est totale.

Je profite d’un court instant de répit pour lui indiquer mon renoncement, il m’a vaincue.

— Oui monsieur, je suis votre petite chienne bien obéissante, faîtes ce que vous désirez de moi...

— Ne t’inquiète pas, ce n’est qu’un début, nous faisons simplement connaissance, j’avais besoin de te tester. Et c’est pas mal du tout pour une première, tu ne t’es pas débattue, bien au contraire. Pourtant ton joli fessier doit bien te cuire, tu devrais le voir, il a perdu sa blancheur virginale et est tout rouge… comme ma main d’ailleurs, j’ai même dû en changer à un moment ! Donc oui, j’accepte de t’éduquer et, fais-moi confiance, d’autres jeux plus intenses t’attendent, mais pour un peu plus tard. En attendant, nous n’en avons pas terminé, finissons !

M Franck poursuit alors ses claques fessières ininterrompues, gauche, droite, gauche, droite et ainsi de suite pendant quelques minutes avant que, brusquement, la jouissance me transperce, fulgurante et si fabuleuse. Mon corps se cabre, je pousse un hurlement avant de m’effondrer sur le canapé.

Mais, après m’avoir laissée récupérer quelques instants, mon voisin reprend la parole.

— Toi et moi, nous en avons pas tout à fait terminé pour aujourd’hui. Tout à l’heure, tu as voulu être sodomisée, alors je ne voudrais pas te décevoir. Installe-toi sur le bord du canapé et ...