Happy birthday, dear Bérénice !
Datte: 19/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Iovan, Source: Hds
... souffle se précipitait.
— Ja, Liebling *!... Ja ! Beaucoup ?
Je caressais ses fesses de soie et ses seins dont les mamelons étaient durs d'excitation.
— Oui ! Beaucoup ! Vas-y, Maîtresse chérie !
Elle déposa sur ses doigts une quantité généreuse du lubrifiant, la déposa sur ma rosette et de son index la fit pénétrer. Je soupirai d'aise sous l'onctueuse caresse. Puis elle enduisit sa main et son avant bas de l'onguent. Je lui tendis mon fondement, fesses écartées, lui offrant mon anneau. Elle m'entoura par la taille de son bras gauche et se mit à doucement me caresser les testicules et à gentiment me branler. Elle porta sa main droite entre mes fesses, qu'elle embrassa tendrement. Elle commençait à faire jouer son index dans ma rosette. Je me cambrai. Bérénice respirait lourdement. Je la devinai, le regard braqué sur le spectacle qui la fascinait.
— Deux, chérie !
Elle joignit son médius à l'index et les fit glisser dans mon orifice... A peine y avait-elle fait aller et venir ses doigts que je soupirai :
— Trois !
Son souffle se précipitait, elle m'embrassait tendrement, je sentais sa langue mouillée me lécher... je sentais monter sa fièvre. Elle enfonça délicatement trois doigts dans mon anus. Tourne-les, chérie ! Tourne ta main... ! Là ! Doucement... Oh ! Encore... ! C'est ça, maîtresse ! Je caressai son sexe dégoulinant d'un flot de cyprine qui poissait ses cuisses. Elle était dans un état d'excitation frénétique. Sans que je le lui demande, elle ...
... retira ses trois doigts, et en joignant quatre, avec un cri éraillé me les enfonça d'un coup, profondément dans l'anus. Je ne pus m'empêcher de pousser une exclamation de saisissement tant l'assaut avait été brutal.
— Mmhhh ! Tu aimes chéri... Tu aimes, ça n'est ce pas ? Je l'entendais grincer des dents et le ton crispé de sa voix disait toute la tension lubrique qui l'habitait.
— Oh, oui ! Chérie, c'est bon...
Elle se déchaîna alors, avec des ahanements violents, enfonçant et ressortant brutalement ses doigts qui heureusement bloquaient à la paume. Je geignais sous ses assauts, mais elle n'en continua pas moins à me baratter l'anneau, me faisant monter, abasourdi, vers un début d'orgasme.
— Maintenant, tu vas prendre ma main tout entière dans ton joli petit cul, mon trésor, grinça-t-elle...
Et joignant le geste à la parole, elle plaça sa main en coupe sur mon anus et se mit à pousser en imprimant de lents et puissants mouvements à son poignet. Les cinq doigts m'avaient pénétré jusqu'à la jointure et les ondes de douleur qu'accompagnait une volupté intense me faisaient crier de plaisir lubrique au grand bonheur de ma belle tortionnaire.
— Oouiii...!! Oouii !... Mon chéri ! Tu jouis... Oh ! Comme tu es doux !! Attends... Encore... ! Elle criait presque.
J'éructais mon euphorie lubrique en râles, geignements et plaintes, la suppliant
— Oooh... ! Chérie ! Encore... Oh... ! Encore... !
Tout en tournant son poignet, elle poussait à coups brefs et violents ...