Happy birthday, dear Bérénice !
Datte: 19/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Iovan, Source: Hds
... sa main dans mon fondement, distendant mes sphincters qu'elle martyrisait. Alors s'arc-boutant à ma taille qu'elle tenait fermement, dans un râle prolongé, au prix d'un effort encore plus intense, elle fit céder mon anneau et y enfouit sa main avec un cri de triomphe. Je sentis mes yeux se révulser, je hurlai, douleur et plaisir mélangés, dans un cri qui ravit ma charmante bourrelle... je me cambrai convulsivement et j'éjaculai, secoué de spasmes, prêt à défaillir... Elle s'immobilisa alors, m'embrassant les reins et les fesses :
Oohh !mon chéri... je suis heureuse... si heureuse ! Merci ! Comme tu es bonne ! Je t'ai fait jouir Mein Schatz *... Tu as joui !
Elle me parlait doucement, tournée vers mon visage, je la regardai... Ses yeux s'étaient emplis de larmes. Elle bougeait délicatement sa main emplissant mon fondement d'ondes d'un plaisir ineffable... je jouissais encore, geignant mon bonheur. Alors elle poussa son bras et dans un doux mouvement de piston, s'enfonça au fond de mon ventre avec une exclamation de triomphe incrédule. J'eus un nouvel orgasme. Je la sentis alors se retirer délicatement, pour doucement s'enfoncer de nouveau, me propulsant au sommet de la volupté. Elle poussait des cris exaltés, alors qu'elle réitérait encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je hurlais, feulais, geignais, projeté dans des tourbillons d'orgasmes, au paroxysme de l'extase. Harassé, vaincu, je m'affalai, inerte. Quand je repris mes esprits, Bérénice ...
... était penchée sur moi, et me caressait le visage, souriante.
— Mon beau trésor, Schätschen*, mon cadeau chéri... tu m'as donné du vrai bonheur, ce soir ! Tu sais... Tu es un amour !
Elle me couvrait de baisers... Elle était à nouveau la douce, la tendre Bérénice. Je la regardai... qu'elle était belle ! Je vis alors qu'Edmond était là. Il était assis dans un fauteuil au fond de la vaste chambre. Je me redressai, l'interrogeant du regard.
— J'ai entendu crier très fort, j'ai eu un peu peur alors je suis monté... mais je m'en vais.
— Non, Edmond ! Tu restes ! je veux que tu voies quelque chose...! le ton était sans réplique. Déshabille-toi !
Edmond semblait interdit.
— Fais ce que je te dis !
Elle me regarda, impérieuse :
— Je vais te fister devant lui ! Tourne-toi !
Loin de me déplaire, cela m'excitait beaucoup... Pendant qu'Edmond se dévêtait, je m'exécutai et repris l'indécente position, jambes et fesses écartées offertes à ma belle tourmenteuse. Elle réitéra les mêmes gestes qu'auparavant, m'enduisit de vaseline, et fit de même pour elle. Edmond, sans qu'on le lui demande, s'était approché, visiblement captivé. Je vis qu'il était très correctement pourvu et qu'il commençait à montrer son intérêt pour le genre de spectacle auquel il avait été convié.
— Tu es prêt Süsse *? Je commence...
Je hochai la tête. Déjà, elle insinuait le bout de ses doigts dans mon anus et commençait à le dilater, elle poussa encore et me pénétra jusqu'aux jointures... Mon ...