1. Tout est mini dans notre vie


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, taille, amour, Oral pénétratio, mélo, Auteur: Larche, Source: Revebebe

    ... bite avec ses doigts mais elle la branlait énergiquement, avec une certaine dextérité je dois dire. Elle me fit baisser mon pantalon, ensuite elle retira sa robe, elle n’avait pas de soutien-gorge, elle n’avait pas de seins non plus d’ailleurs, juste deux petits dômes à peine saillants au niveau des tétons. Puis elle fit glisser sa culotte pour me dévoiler un sexe assez peu poilu.
    
    Entre temps, je m’étais moi aussi déshabillé. Malgré le sordide de l’endroit j’avais très envie de lui faire l’amour, j’étais dur et érigé. Elle me demanda de m’allonger sur les édredons et c’est elle qui vint sur moi. Elle m’enfonça lentement dans son ventre, elle était plutôt étroite, ce qui ne l’empêcha pas d’engloutir totalement ma queue en un clin d’œil. Empalée sur ce monstrueux tuteur, elle se mit à aller et venir lentement le long de ma verge. C’était une vision fantastique que de voir ce petit bout de femme aux seins à peine pointus s’exciter sur un dard deux fois trop gros pour elle. Elle se mit à gémir, comme ça, de plus en plus fort, en se démenant sur ma tige comme une possédée.
    
    Frederich, de son côté, braillait toujours, il hurlait dans la cambuse des « Sieg Heil » en pagaille. Quand on ne l’entendit plus, il apparut devant la porte et, la bouteille toujours aux lèvres, il se mit à mater la naine en s’enfilant de bonnes rasades. J’étais aux aguets, prêt à lui sauter dessus à la moindre tentative pour s’approcher encore.
    
    — Bon dieu de salope, elle en veut cette petite ...
    ... catin.
    
    Mais, au lieu de la calmer, la présence du vieil ivrogne ne fit qu’exciter un peu plus Lucie qui s’en fut à un rythme effréné sur mon dard, en couinant, en gémissant, en soufflant, complètement hors d’elle-même, jusqu’à ce que j’explose enfin en elle et qu’elle explose tout autant sur moi.
    
    — Oh la petite pute, la petite pute, couina notre voyeur.
    
    Frederich en laissa tomber sa bouteille qui roula dans un bruit cristallin le long de la pièce. Lucie retomba sur moi, s’affala contre mon ventre et s’en fut pour un gros câlin en jouant avec les poils de mon torse.
    
    En regardant du coin de l’œil l’autre poivrasse qui nous matait toujours avec ses yeux salaces, je suggérai à Lucie qu’il était peut-être temps pour moi de la raccompagner chez elle, car l’endroit me semblait fort peu propice au romantisme.
    
    Mon « coloc » était ivre mort, il s’était assis par terre et cuvait son vin en épiant Lucie qui était en train de se rhabiller. Il en prenait plein les mirettes mais était bien incapable de fixer l’image dans son cerveau gluant. Quand elle passa devant la porte, il essaya quand même de l’agripper mais il se reçut un sale coup de pied dans les côtes ce qui eut le don de le calmer. Alors, il nous regarda nous éloigner en maugréant, en bougonnant, en braillant comme un porc qu’on égorge à grands coups de « salope », « putain », « vicieuse »…
    
    J’aidai Lucie à sortir de l’immeuble et nous nous retrouvâmes bientôt dans la rue, joyeux et guillerets, pleins d’espoirs pour notre ...
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