Tout est mini dans notre vie
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
taille,
amour,
Oral
pénétratio,
mélo,
Auteur: Larche, Source: Revebebe
... amour naissant.
Il n’était plus question pour moi d’habiter autre part que chez elle. Lucie m’avait pris en main. Tout d’abord, elle s’était occupée de ma garde robe puis elle m’avait convaincu d’aller chez le coiffeur. Ainsi relooké, je me retrouvais comme un homme neuf. Tout ce qu’elle pouvait faire pour moi, elle le faisait, tout ce dont j’avais envie, elle me l’achetait, c’en était presque trop, je n’étais pas habitué à un tel traitement. J’avais un peu l’impression d’être entretenu ou d’être acheté. Elle n’avait pourtant pas besoin de ça pour que l’on fasse l’amour.
Je dormais dans son lit et nous restions éveillés des nuits entières à nous aimer. Parfois aussi, après l’amour elle lisait tandis que je ronflais comme un bienheureux à ses côtés. Ce n’était pas une grosse dormeuse. Mais une amante magnifique, ça oui. Obsédée par le sexe qu’elle était, ma Lucie. En dehors de ses bouquins, elle ne pensait qu’à ça et semblait toujours prête pour essayer de nouvelles choses, comme par exemple faire l’amour assise sur mes genoux au fond d’un bus ou dans la rue sous un porche. Le soir, en revenant de la boutique, elle cherchait des petits coins.
Un jour, deux personnes d’un certain âge nous ont surpris sur leur palier. Lucie était en train de me sucer. Excités par la naine qui avait la bouche déformée par ma grosse trique, ils nous ont invités à rentrer chez eux. C’était un couple illégitime, lui monsieur très distingué, grisonnant, en costard-cravate, elle grande ...
... brune poitrinaire qui faisait plutôt vulgaire. La conversation s’est immédiatement portée sur le sexe. Quand lui a manifesté l’envie de se faire sucer, Lucie s’est de suite portée volontaire. De son côté, la grosse femme m’avait entrepris, elle roucoulait pour que je la touche. De voir Lucie engloutir ce sexe étranger, ça m’a serré le cœur, d’autant plus qu’elle n’y allait pas de main morte et qu’elle semblait vraiment excitée. La brunasse eut beau se dépoitrailler et mettre sa main dans ma culotte, je n’avais pas trop goût à ça. Lorsque j’ai vu l’homme enfiler un préservatif avant de soulever Lucie pour l’empaler sur son sexe dressé, j’ai littéralement pété les plombs. J’ai repoussé la grosse avec brutalité, j’ai beuglé un gros « j’me casse » et suis sorti en claquant violemment la porte. J’ai attendu ensuite un long moment en bas de l’immeuble mais Lucie n’est pas redescendue.
Ce fut la première d’une longue liste de déconvenues qui m’éloignèrent peu à peu de ma belle. C’est vrai qu’elle avait pas mal de copains qui se rappelaient de temps à autres à son bon souvenir. Parfois, le soir, on en voyait un débarquer, qui ne venait visiblement pas pour enfiler des perles. Evidemment, étant donné que j’étais là, il était fort déçu et s’en retournait peu après sans demander son reste.
Et Lucie ne faisait rien pour décourager ces hommes, ils n’étaient pour elle que d’anciens copains, ça ne prêtait pas à mal, comme elle disait souvent.
N’empêche que je lui reprochais de plus en ...