1. Mon stagiaire me révèle à moi-même (1)


    Datte: 14/09/2022, Catégories: Gay Auteur: lel0up, Source: Xstory

    ... ma nuque, il bloqua les mouvements de mon visage. Alors, il commença à aller et venir dans ma bouche. D’abord lentement et sans trop forcer puis de plus en plus fort. Enfonçant chaque fois un peu plus son pieu dans ma gorge. Les larmes me montaient aux yeux, j’avais un peu envie de vomir, mais, mon Dieu, c’était trop bon ! Peu à peu, ma gorge se détendit. Elle acceptait ce membre colossal. Après quelques minutes, il parvint à me ramener complètement contre lui. Je me retrouvais alors le nez enfoui dans les poils à la base de son sexe. Là, l’odeur était encore plus forte, puissamment enivrante. Il grogna de plaisir, je gémis d’extase.
    
    À partir de là, il commença à me baiser la bouche. Il allait et venait à une vitesse folle dans ma gorge, ses testicules énormes heurtant mon menton à chaque poussée. J’agrippais ses fesses fermes et poilues avec mes mains, pour sentir ses muscles en action pendant qu’il baisait ma bouche. J’étais un réceptacle à son plaisir, et il ne se privait pas de m’utiliser. J’exultais.
    
    Il le savait et disait de temps en temps des choses comme « Elle est bonne ma bite hein ? T’aimes te faire défoncer la gueule ? » ou « Tu devrais me dire merci. J’en connais pas mal qui paieraient cher pour que leur bouche serve de défouloir à une bite comme la mienne ». Si j’avais pu parler, je l’aurais remercié, en effet. Mais il ne m’en laissait pas l’occasion, me martelant inlassablement la gueule.
    
    À un moment, il dit « Je savais bien qu’au fond, t’étais un ...
    ... garage à bite. Avec tes petits regards de vicelard sur moi. Tu crois que je te voyais pas ? Tu voulais ma queue hein ? ». Comme je ne répondais pas, il me donna une claque à l’arrière du crâne. « Tu la voulais ou pas ? ». Je réalisais qu’il avait raison. Que depuis le premier jour, dans mon bureau, j’avais eu envie de lui. Je hochais la tête. Il la caressa alors, comme un chien qu’on félicite. « C’est bien d’accepter sa vraie nature. T’es une pute hein ? Une petite pute soumise ? ». Je hochais la tête de nouveau.
    
    Ça l’excitait de me voir acquiescer alors qu’il me traitait de pute. De me dominer. Je le sentais à son sexe qui grossissait, qui palpitait dans ma bouche. Il grognait de plus en plus fort, avec sa voix grave. Ça me plaisait, l’idée que je lui donnais ce plaisir. J’étais terriblement impatient d’arriver à l’aboutissement de ce défonçage de gueule en règle. Alors même que mon propre sperme m’avait toujours un peu dégoûté, j’espérais qu’il ne se retirerait pas avant de jouir.
    
    Je fus rassuré lorsqu’il dit : « Oh c’est trop bon ma belle. Je vais jouir ! » puis, après encore une minute de martelage « Oh oui ça vient, avale bien tout comme une gentille fille ». Il bloqua encore plus fermement mon visage, enfonça sa queue jusqu’à la garde et poussa un long rugissement bestial. Je sentis alors un liquide chaud s’écouler dans ma gorge, et j’en accueillis chaque goutte comme une offrande. La quantité de sperme qu’il me donna à boire était impressionnante. Ça n’en finissait ...
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