1. Mon stagiaire me révèle à moi-même (1)


    Datte: 14/09/2022, Catégories: Gay Auteur: lel0up, Source: Xstory

    ... téton droit qu’il pinça violemment, m’arrachant ce qui ressemblait plus à un gémissement qu’à une plainte de douleur. Ça le fit sourire. Un sourire fier, un peu mauvais, de celui qui sait qu’il a gagné. J’entrepris de déboutonner sa chemise, libérant un torse à la musculature impressionnante. Ses pectoraux étaient recouverts de poils bruns et lisses. Une ligne sombre courait ensuite sur son ventre ferme et s’évasait à partir du nombril. Lorsque j’eus fini d’enlever sa chemise, il libéra mon visage de son étreinte et me laissa le contempler à ma guise.
    
    Devant mon air ébahi, il demanda, en arborant le même sourire en coin, fier :
    
    — La vue te plaît ?
    
    — Oui, m’entendis-je dire.
    
    — Alors, profites-en, dit-il en écartant les bras.
    
    Il n’en fallut pas plus. Je jetais mes lèvres à la rencontre de ce corps parfait. Léchant les poils, suçant les tétons. Pendant ce temps, Julien caressait ma queue au travers de mon pantalon, ce qui renforçait encore mon excitation. Comment m’étais-je transformé en cet animal incontrôlable que seul ce corps pouvait assouvir ? Je ne me reconnaissais plus. Jamais je n’avais éprouvé une telle attraction pour un autre homme. Tout juste quelques coups d’œil admiratifs portés à des musculatures. Mais parce que je les comparais à la mienne. Là, je ne pensais même plus à mon propre corps, sinon au désir foudroyant qu’il ressentait. Tout mon être était tourné vers ce torse incroyable et, mon Dieu, à ce qu’il y avait plus bas. Je songeais à cette ...
    ... queue qui devait être impressionnante elle aussi. Mais qu’est-ce qui m’arrivait ? Comme s’il lisait dans mes pensées, il se leva, de sorte que son membre, qu’on devinait nettement sous l’étoffe de son pantalon, soit face à mon visage.
    
    — Suce-moi maintenant, je veux sentir tes petites lèvres de femelle autour de ma queue. Tu vas kiffer.
    
    — Oui, dis-je simplement, ne relevant même pas le mot « femelle ». J’étais bien trop excité pour penser.
    
    En déboutonnant son pantalon, je songeais seulement que j’avais besoin d’avoir cette queue dans ma bouche. Qu’il serait trop horrible d’arrêter maintenant ! Lorsque j’abaissais finalement son boxer, une immense bite jaillit à mon visage. Elle était énorme, bien plus grosse que la mienne. Elle devait mesurer dans les 25 centimètres de long, pour six de large. Je la fixais quelques secondes, comme hypnotisé, puis me jetais littéralement dessus. Suçant le gland, d’abord, puis passant mes lèvres sur la longueur de sa queue, du moins autant que la profondeur de ma bouche le permettait. L’odeur de sa queue, son goût prononcé après cette longue journée comprimée dans des vêtements, tout ça faisait exploser mes sens.
    
    Nous gémissions de concert. Lui grâce au plaisir que je lui donnais, moi parce que je lui donnais ce plaisir. Parce qu’avoir en bouche le membre de cet homme si puissant était un cadeau. Que je ne pouvais espérer mieux. Je gémissais parce que j’étais à lui, à ce moment-là. Il sembla le comprendre et, plaçant ses mains derrière ...
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