Chienne un jour, chienne toujours (3) - Histoires de Sexe

Chienne un jour, chienne toujours (3)

... joue, un délice que je n’ose embrasser encore).

Sa voix, elle m’envoute quand elle me répond de la sorte, cela ne fait qu’ajouter à sa beauté. Sortant son petit appareil, on fit un bon nombre de photos de Martine. On la prend dans toutes les positions possibles et imaginables. Des positions que toutes bonnes chiennes soumises se doivent de savoir exécuter à la lettre. Gilberte se montre particulièrement inventive et créative à souhait en mettant ma grande sœur avec sa petite chienne dans des compositions sans janotisme, dans des scènes piquantes, humidifiantes si vous me suivez. OK, le mot est inventé NA ! J’avoue que la situation de ma sœur, avec cette autre soumise, n’est pas pour calmer mon excitation, mon entrecuisse s’en ressent. Pour un peu, je me jetterai parmi elles pour me faire lécher la motte. En fait, je me caresse intimement en les regardant prendre leurs poses si délicieusement imposées. Je crois même que cette boutiquière savoure le fait que je me masturbe sans trop me cacher.

La carte mémoire pleine, Gilberte la retire de l’appareil pour la glisser dans son ordinateur. Là, ce n’est que du bonheur, ma sœur est venue s’accroupir près de moi, sa tête sur ma cuisse. Ça alors, elle se fait mienne, totalement mienne. Ma sœur aime que je la soumette. Tout en regardant les images qui défilent, je caresse d’une main le crâne lisse de ma sœur tout en continuant à me caresser mon minou de l’autre.

— Gilberte, la novice ignorante que je suis vous doit beaucoup. ...

... Cette manière de faire ces clichés est tout à votre honneur. Ces photos sont juste superbes à tout point de vue !

— Merci Marion. Mais ne vous voilez pas la face, vous êtes une dominatrice née et je m’y connais. J’ai une question qui me taraude depuis votre arrivée, c’est sur vos préférences. Non, je vous en supplie, continuez de vous caresser, ça me plaît.

— Je vous rassure, je suis parfaitement à l’aise avec les deux sexes, même si, depuis peu, je verse plus du côté féminin. Mais... sans pour autant... dédaigner les hommes, on... on se... comprend, toutes... les... les deux, n’est-ce pas ?

Complètement folle, pour lui prouver ce que j’avance, je me jette à l’eau. Je l’embrasse à pleine bouche, cela déclenche un bel orgasme en mon corps tout en chaleur. Gilberte se lève, me regarde longuement en caressant mon visage d’une main douce à souhait. Elle jette un œil à sa montre pour s’en aller fermer la porte de sa boutique. Pendant ce temps, avec ma sœur :

— Martine, il te faut me donner, et sans tarder, le nom et l’adresse de cette personne que tu devais voir vendredi. J’EXIGE DE LA CONNAITRE !

— Elle se nomme Madame Justine, elle vit non loin de chez moi, dans le quartier Monséjour. Elle y possède une grande maison avec un immense terrain. (M’avoue enfin ma sœur.)

— Je la connais, c’est une habituée de ma boutique et aussi une voisine. Elle dresse ce genre de femme, mais aussi des hommes. Elle en fait des chiens tels que ma chienne par exemple. C’est aussi une ...