Chienne un jour, chienne toujours (3)
Datte: 11/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... déplaire.
— Avez-vous faim ?
— Oui, une faim de loup de jouir de nos chiennes avec vous, belle boutiquière.
— Je vois ça ma petite peste, mais avant, il me faut un peu de temps pour faire ma caisse et rendre ma boutique présentable.
— Désirez-vous de l’aide ?
— Non, vous allez comprendre. Roxanne, au pied... c’est bien, bonne chienne... Range-moi tout ça et tu me nettoieras tout le magasin, j’exige que cela brille de partout. Et puis, tu rempliras les rayons, ma belle.
— Ouaf ! fit Roxanne, cela me surprit agréablement de l’entendre japper comme une chienne.
— Si vous me le permettez, ma chienne devrait se joindre à la vôtre pour accélérer le travail.
— Si vous insistez.
— Martine, fais ce qu’on te demande. Et puis, il faut bien qu’elle apprenne à faire ce à quoi je la destine, servir !
La main de Gilberte sur ma croupe me laisse déjà présager d’une nuit merveilleuse et hautement saphique. En fait, ce fut le déclic que j’attendais. Je piaffais déjà d’impatience, son baiser m’avait laissé un goût exquis et je voulais absolument poursuivre cette aventure. Pour tout dire, rien n’était plus fait pour me déplaire depuis que je connais les goûts vicieux de ma frangine. Pour parfaire la condition de nos chiennes adorables, Madame Gilberte les oblige à une nudité totale. Cette fois, ce sont mes mains qui caressent le beau postérieur de cette belle boutiquière. Quand sa bouche reprend la mienne, nous roulons derrière comptoir, nos mains baladeuses ...
... découvrant rapidement le corps de l’autre. L’une comme l’autre, nous n’y tenions plus, il fallait que nous baisions. Nous étions folles de désir l’une pour l’autre. Nos mains allaient là où se trouve la naissance du plaisir et s’en donnaient à cœur joie.
— Marion, que ton corps est sublime, je suis heureuse de mieux te connaître.
— Moi aussi Gilberte, depuis hier, il me tardait de te revoir, mieux te connaître, surtout après avoir fouetté ta délicieuse petite chienne.
— Elles vont nous rejoindre, elles nous feront à manger et nous donneront du plaisir pendant notre repas.
— Quel succulent programme que voilà ! Mais pour le moment, j’ai envie de te sentir exploser de bonheur. Je n’ai qu’une envie, te remercier, ma belle boutiquière, laisse-toi faire.
Elle ne répondit pas, déjà ma bouche gobait ses seins majestueux, mes mains fouillaient entre ses cuisses, les prémices d’un plaisir énorme présumaient d’une nuit à venir particulièrement heureuse. Au moment suprême, la force de son orgasme me fit basculer à ses côtés. Sans attendre, je plonge ma bouche dans ses entrailles, désireuse de la faire jouir encore. D’une main, Gilberte appuie sur un bouton, nous entendons les stores se baisser, la suite n’en est que meilleure encore. Jouissant encore de moi, Gilberte me pose une question sur un ton très dictatorial.
— Je te veux pour compagne, j’exige de t’avoir auprès de moi, avec ta petite chienne.
— Je dis oui, mais, puis-je y émettre une toute petite condition ?
— ...