Belle-sœur de l'Empereur - 3
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
confession,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... tétanisé, il s’exclame :
— Je vous interdis de dire ça !
— C’est ça, c’est ça, interdisez ! Allez-y, appelez même la garde ! Ils vont bien rire en vous voyant le braquemart à l’air et bien raide !
— Je…
Pour couper court, j’enfourne carrément la verge dans ma bouche et je commence une splendide fellation que même un empereur n’a jamais subie ! Au raidissement et au tremblement que je perçois de Ludwig-Victor, il est clair que ma dextérité en la matière fait merveille. D’après ce que j’ai cru comprendre, peu d’hommes résistent à une bonne sucette, surtout ceux qui ont rarement eu, ou qui n’en ont jamais eu. À moins d’être un saint canonisable par l’Église. Et encore !
Sa verge en bouche, je me souviens alors de celle de mon regretté mari. Je sentais confusément qu’il en serait ainsi, mais que ça se passe ainsi d’aussi évidente manière, je n’y croyais pas une seule seconde !
Sentant le moment venu, je sors le mandrin de chair de mes lèvres et je lèche consciencieusement la tige frémissante. J’en profite au passage pour câliner les boules soyeuses. Par-dessus ma tête, j’entends divers petits soupirs de contentement : l’Empereur est un homme comme un autre. Fugacement, je pense au fait d’être moi-même l’Impératrice et de dicter de la sorte ma bonne volonté simplement en suçant et léchant qui de droit. Je parie que cette situation a dû exister plus d’une fois, mais que les scribes n’ont pas osé la relater. Sa verge bien en main, je demande à mon souverain :
— Ne ...
... vous sentez-vous pas plus détendu ?
— Je… c’est vrai…
— Dans ce cas, je continue.
Aucune protestation. Il se laisse faire. Sa tige frémit de plus en plus. Je reprends la parole :
— Vous pouvez vous laisser aller, pas de souci.
— Je… je peux ?
— Bien sûr que oui, Ludwig.
C’est bien la première fois que je l’appelle ainsi. Sa verge frémit de plus en plus, je comprends qu’il n’y en a plus pour bien longtemps avant que le flot arrive. Comment sera-t-il ? Faible ou puissant, liquide ou épais, acide ou musqué ?
J’entends un premier gémissement, puis une explosion survient dans ma bouche. Le même goût que Karl, la même consistance ! Oh oui, ça me rappelle bien des souvenirs. Peut-être que je n’aurais pas dû, mais qu’importe, ce qui est fait est fait.
Tandis que j’avale, l’Empereur se vide en longues saccades dans ma bouche. Ça n’en finit plus, comme s’il y en avait pour des mois, voire des années, de réserves à évacuer. Au-dessus de ma tête, Ludwig gémit doucement, se déversant par saccades qui faiblissent petit à petit. Heureusement pour moi, car trop de sperme à ingurgiter, c’est pénible à la longue !
Vaincu, épuisé, il s’affale dans un fauteuil. J’en profite pour me redresser puis m’accouder auprès de lui. Je laisse passer quelques instants avant de lui conseiller :
— Comme vous avez pu le constater, cher Ludwig-Victor, tout fonctionne pour le mieux, et pour l’instant, aucun éclair divin ne nous a foudroyés sur place. Maintenant, occupez-vous de Lugdiwina, ...