Jeux d'artifice - Histoires de Sexe

Jeux d'artifice

... d’artifice dans le coin ?
— Je pense que tu peux le voir à l’étage, dans l’atelier de peinture…

Posant sa tuile dans son royaume, elle se montre très intéressée :

— À l’étage ? On peut aller à l’étage ?
— Théoriquement, non… mais en pratique, c’est faisable… Tu veux qu’on aille voir ça là-haut ?
— Oh oui, si c’est possible ! On y va, Ludovic ?
— OK, allons-y !

Nous abandonnons momentanément notre partie en cours, changeant de salle, puis nous débouchons sur un couloir sombre. Alors que je m’apprête à monter l’escalier, j’entends un bruit de craquement derrière nous. Surpris, Morgane et moi, nous nous regardons. Désignant l’escalier, je dis alors à Morgane :

— Monte en premier, je te rejoins une fois que j’aurais vu ce que c’est.
— D’accord. Je t’attends là-haut ?
— OK…

Je repars sur mes pas, je regarde, je scrute, je ne vois rien. Sans doute une poutre qui vient de jouer, le bâtiment n’étant pas tout neuf, ni très récent, il doit avoir au moins cent ans, si ce n’est plus. Alors revenant dans le couloir, je pose le pied sur la première marche, Morgane étant devant moi, un peu plus haut qu’à mi-parcours, ses gambettes gainées de noir émergeant fort bien de sa jupette écossaise à carreaux rouges et noirs.

De là où je suis, en contre-plongée, je distingue nettement les bandes noires de ses bas ou de ses collants, impossible à dire. Mais j’adore ce genre de vision très émoustillante. Alors j’attends un peu, laissant Morgane monter un peu plus haut. J’en ...

... profite même pour m’abaisser légèrement pour avoir une meilleure vue d’ensemble.

C’est avec un grand sourire que je constate qu’il s’agit de bas autofixants puisque je ne distingue aucune attache, et que je peux contempler avec satisfaction la chair blanche des cuisses au-dessus de la bande noire. Mes maîtresses m’offrent souvent ce petit plaisir d’être nues ou presque, les jambes gainées de noir avec ou sans porte-jarretelles…

Un spectacle très émoustillant !

Aujourd’hui aussi, c’est une agréable vision que j’ai sous les yeux. Volontairement, je reste sur la première marche, en fléchissant plus encore mes jambes pour ne rien perdre du spectacle et en découvrir plus encore ! Parfois, je regrette d’être plus grand que la moyenne…

C’est alors que je suis surpris ! On dirait bien que Morgane ait oublié de mettre une petite culotte ! Ou bien, je me fais des idées, l’escalier étant assez sombre. Ou bien, elle porte un string. Ou bien, sa culotte est de couleur chair ou proche. Ou bien, en effet, elle ne porte rien…

En tout cas, cul nu n’est pas perdu !

Morgane arrive sur le palier, je me redresse avant qu’elle ne se retourne et je commence à grimper les marches deux à deux. Puis je l’invite à aller au fond du couloir de l’étage :

— Là-bas, c’est la salle des peintres et il y a une fenêtre qui donne au lointain sur le canal, là où se tire le feu d’artifice.
— D’accord.

Peu après, nous entrons dans une salle qui sent la térébenthine et autres produits un ...