Jeux d'artifice - Histoires de Sexe

Jeux d'artifice

... toi, je me méfie !
— J’ai envie d’éjaculer sur tes seins !

Ses doigts toujours dans ma chevelure, elle s’exclame :

— Ben voyons ! C’est ça ton feu d’artifice ? Tu as déjà épuisé tes réserves dans ma chatte !
— Pas de problème, il m’en reste encore un peu dans un coin.
— Ça va être un petit feu d’artifice, dans ce cas… Au fait, en parlant de feu d’artifice, faudra qu’on s’achète Hanabi, il est vraiment pas mal, ce petit jeu de cartes.

Après un dernier baiser à l’orée de sa fente, levant la tête de son pubis, je lui propose :

— Eh bien, une prochaine fois, après avoir joué à Hanabi, on se fera une séance uniquement « feu d’artifice ». Je me ferais un plaisir de juter plusieurs fois sur tes beaux lolos, pendant que tu te masturberas.
— Je reconnais bien là, mon gros cochon !

Abandonnant ma tête, elle enlève sa nuisette qu’elle jette au milieu de la pièce. Puis de ses deux mains, elle presse ses seins l’un contre l’autre :

— Qu’est-ce que tu attends ? Arrose-les, si tu peux !

Il existe des choses pour lesquelles il ne faut pas me mettre au défi ! Je me relève aussitôt, la surplombant tant bien que mal sur le canapé, j’astique ma colonne déjà bien raide, ma verge pointée vers sa poitrine dardée en deux monts blancs jointifs.

— Ça arrive… la neige d’été arrive, elle va bientôt déferler sur le ...

... sommet de ta montagne !
— J’ai hâte de voir ça ! De la neige en plein été !
— Plus que quelques secondes, ma montagnarde ! Et quand j’en aurais fini, je veux que tu te masses les nichons avec mon sperme pour en mettre partout !
— Oh ! Que d’exigences, mon gros cochon ! dit-elle avec un air vicieux qui déclenche alors un premier jet qui vient s’écraser sur un téton.

Un deuxième fuse aussitôt, dépassant ses seins pour venir mourir dans son cou. Je tente de rectifier l’angle de tir. Mes autres jets, moins fournis, s’écrasent en effet sur sa poitrine et parfois ses doigts. Je suis un peu déçu de ne pas éjaculer plus que ça, mais c’est déjà un bon début !

Je suis asséché, plus rien ne sortira pour l’instant. Alors je me détends, mes muscles se relâchent, tandis que Morgane se masse sensuellement avec mon sperme. C’est très excitant et c’est très vicieux de contempler ses seins devenir luisants ainsi que ses doigts, surtout avec cette façon qu’elle a de le faire et de me regarder !

Admirant le spectacle qu’elle m’offre, mon sexe avachi pendouillant entre mes cuisses, à la fois épuisé et ravi, je la regarde amoureusement :

— Merci ma chérie. Je vais appeler ça un jeu d’artifice !
— Moi, je dirais plutôt que c’est un jus d’artifice, mon Lulu !

Bon prince, je vais laisser le dernier mot à ma chère Morgane…