Jeux d'artifice
Datte: 08/09/2022,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
jeu,
rencontre,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... confusément qu’il y a quelque chose à tenter, alors je me place derrière elle, touchant le haut de son dos de mon torse, l’enveloppant de mes bras, pour pose mes mains sur le haut de son ventre, au-dessus ses propres mains. Elle se laisse aller contre moi. Me voûtant un peu, je pose ma joue sur le haut de sa tête, dans ses cheveux de soie. Nous regardons la suite du feu d’artifice.
Nous restons ainsi, silencieusement, tandis que les dernières fusées éclatent au lointain. Puis le bruit s’arrête, le calme revient, plus aucune lumière dans le ciel. Le feu d’artifice est visiblement fini. Pourtant, nous restons immobiles, regardant le ciel vide.
Le temps passe, lentement, imperturbablement, sans que nous ne bougions. Pour ma part, j’ai peur de briser le charme, et je tiens à profiter de la situation le plus longtemps possible. C’est Morgane qui brise le silence la première :
— Mis à part l’odeur de térébenthine, ce n’est pas que je sois mal, mais… n’avons-nous pas une partie à terminer en bas ?
— Tu as raison… Mais entre nous… je suis très bien ici avec toi… en tout bien, tout honneur…
Ma partenaire de jeu ironise :
— Ah oui ? En tout bien, tout honneur ?
— On dirait que tu ne me crois pas…
Sans bouger, sans s’évader de mes bras, d’un ton amusé, regardant toujours par la fenêtre un ciel vide de lumière, Morgane me demande :
— Crois-tu que j’aie ignoré ton petit manège dans l’escalier, Ludovic ?
— C’est-à-dire ?
— Tu connais la chanson d’Alain Souchon ...
... : « Sous les jupes des filles », je suppose…
Sans m’émouvoir, je resserre un peu plus mon étreinte :
— Je serai incapable de te la chanter entièrement, ni même à moitié, mais j’en connais quelques paroles.
— Et comme tous les hommes, tu ne détestes pas aller regarder ce qu’il y a dessous quand l’occasion se présente…
Je reste philosophe :
— On dit que l’occasion fait le larron…
— Oui, c’est ça…
— Et puis… comme le disait ma grand-mère et aussi parfois ma mère, cul nu n’est pas perdu…
— Tu as de bons yeux, à ce que je comprends…
— Donc, tu confirmes…
Elle s’étonne :
— Ah ? Tu avais des doutes ?
— Vu les conditions de lumière et le fait que les hommes sont un peu obsédés… on peut vite imaginer des choses qui n’existent pas.
— Un peu obsédés, juste un peu obsédés ? Et tu peux m’expliquer quel est ce machin tout dur que je sens sur mes fesses ?
Je propose une excuse imparable :
— Tu aurais une petite culotte, tu le sentirais moins…
— Oh la belle excuse !
— Remarque, si tu portais un string, ça ne changerait pas grand-chose…
— C’est ça, rattrape-toi aux branches comme tu peux.
— En parlant de se rattraper à quelque chose, moi, je préfère ceci !
Puis joignant le geste à la parole, je capture ses deux seins par-dessus le tissu. Je tente ma chance, et tant pis si je reçois une gifle ! En tout cas, j’adore le moelleux et la forme de ses délicats lolos ! Et la gifle n’arrive toujours pas…
Alors je m’enhardis encore un peu plus, la caressant ...