Le temps qui s'arrête
Datte: 07/09/2022,
Catégories:
f,
fh,
inconnu,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
portrait,
rencontre,
Auteur: Jane Does, Source: Revebebe
... Personne ne m’a jamais…
— Tu ne vas pas te vexer ? C’est juste une expression. Et puis, je n’ai eu aucun amant depuis mon divorce. Mon ex était aussi l’unique homme de ma vie, alors ne te plains pas trop.
— C’est donc une grande chance ?
— On peut dire ça. Ne gâchons rien, veux-tu ? Tu m’attendais pour quoi au juste ?
— Disons que tu m’as plu de suite et que… j’ai le sentiment d’avoir été un peu trop rapide avec toi.
— Et si c’était justement cette vitesse qui m’a fait de l’effet, à moi ? Comment t’expliquer ça ? J’en avais envie, besoin, un ensemble des deux termes !
— Tu veux dire que j’étais un coup d’un soir pour toi ?
— Non ! Pas du tout, c’est simplement que j’avais la nécessité de me sentir femme de nouveau et que tu t’es montré présent pour cela. C’était sans doute le bon moment, l’instant propice et il fallait que ça arrive. Je suis heureuse d’avoir renoué avec ma sexualité avec toi.
— Tu… pardon pour la connerie que je vais débiter, mais tu n’as pas envie de continuer en ma compagnie ?
— Pour coucher, tu veux dire ? Crois-tu vraiment que je t’aurais demandé de dîner avec moi si je n’avais pas une petite idée derrière la tête ? Ou plus exactement un peu sous la ceinture, tu vois le genre ?
— Parfaitement. Du reste, je crois que j’ai des fourmillements analogues au même endroit.
— Oui ? Alors, reprenons quelques forces avec un bon dîner, et puis nous aviserons ! Si tu veux, bien entendu.
— Si je veux ? Je ne rêve que de cela. Et de ton corps qui est fait ...
... pour le plaisir.
— … ?
Le dîner est expédié en deux temps et trois mouvements dans un face à face où les yeux parlent plus que les bouches, occupées à dévorer le repas. Martin ne lui donne pas seulement le temps de desservir la table. Il trinque avec une Hélène complètement sous le charme de cette nouvelle soirée. La logique les pousse sur la couche de la quadragénaire qui ne résiste plus à ses caresses de plus en plus osées. L’effeuillage de la belle se fait en douceur et lui profite aussi des mains douces de la brune. Puis les lèvres féminines se gorgent d’un sucre d’orge dans une fellation digne d’un film porno. Martin adore les câlins qu’elle lui prodigue sans modération. Il se perd donc également dans la fourche que généreusement elle ouvre pour lui.
Ils se rendent caresse pour caresse et chacun y trouve son compte. Les pénétrations ne sont que les aboutissements de leurs envies. Elles sont toutes bien calculées et tantôt la dame chevauche le monsieur, parfois c’est lui qui la prend à la missionnaire ou en levrette, au gré des fantaisies ou des idées qui leurs passent par la caboche. Les ébats des amants sont sources de gémissements, de cris plus ou moins retenus et sans doute que les chambres des surveillants stagiaires qui sont logés tout près, doivent résonner des gloussements féminins qu’elle ne peut contenir. Ils restent aussi calés l’un contre l’autre après leurs exploits corporels, repus, las, ivres de trop de bonne baise.
Un énigmatique rictus sur les ...