1. Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine


    Datte: 05/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Langauchat, Source: Hds

    ... ne l’était pas moins. Sa bouche exprimait une avidité sensuelle communicative. A genoux sur le lit, je caressai les seins de Jeannine, qui avait commencé de se masturber doucement, les yeux bandés.
    
    Leste comme une chatte, malgré son poids, la jeune Rosa se plaça avec détermination entre les jambes de Jeannine, et se mit à la lécher avec une grande délicatesse.
    
    On sentait qu’elle en avait l’habitude. Elle devait toujours avoir léché des camarades féminines, ou des collègues de l’hôtel. Elle avait du persuader plusieurs femmes de chambre de se laisser consoler de leurs déboires sentimentaux en se faisant déguster la moule par la langue experte de Rosa.
    
    Elle léchait Jeannine avec une langue détendue, large, lente et méthodique. Brusquement, sa langue se faisait plus pointue, et tourbillonnait par petits coups autour du clitoris.
    
    Jeannine était aux anges.
    
    Je m’approchai de son oreille pour lui murmurer:
    
    - C’est une femme qui vous lèche.
    
    Elle eut un soupir choquée, avec une pointe de réprobation mêlée à une nouvelle vague d’excitation.
    
    Je me mis à califourchon sur Jeannine, et me branlai entre ses seins comme sur une vieille pute. Elle n’était pas attentive aux va-et-vient de ma bite, et tentais de regarder la grosse fille qui s’en donnait à coeur joie, bâfrant comme une cochonne dans la moule de Jeanine. Celle-ci faisait une grimace où se mêlaient le plaisir, l’étonnement, une pointe de dégoût, ainsi qu’une pointe de joie dominatrice.
    
    Lorsqu’elle ...
    ... eût joui, le garçon coréen s’approcha pour la caresser comme un masseur expérimenté.
    
    Jeannine se laissa faire lorsqu’il la fit se retourner. Ses fesses bien charnues me faisaient bander. Le garçon lui fit replier une jambe, afin de lui prodiguer je ne sais quel massage de son pays. A plat ventre, Jeannine offrait l’image délectable d’une chevelure ondoyante et rousse, se déployant sur son dos. Ses fesses me donnaient envie de les écarter, de les lécher la rondelle. Je me souvint qu’elle avait refusé cette caresse le jour d’avant.
    
    Le garçon lui masse les fesses. La lionne se mit à ronronner. Il écarta les globes généreux, et se saisit d’une petite bouteille d’huile qu’il avait posée sur la table de nuit. Il finit par masser l’anus de Jeannine.
    
    Elle ne résista pas lorsqu’il la plaça comme une grosse poupée dans une position plus désarticulée, et qu’il se positionna pour la pénétrer. Il avait sorti une mine mince et tendue, qu’il posa sur le trou du cul de Jeannine.
    
    - Non, ça ne va pas aller…je ne fais pas ça…dit-elle, la voix étouffée par l’oreiller.
    
    - Je vais très doucement, juste le bout, insista doucement le garçon.
    
    Sa queue était idéale pour déflorer la cul de Jeanine. En un seul geste, son gland avait déjà disparu dans l’anus de la dame.
    
    - Putain, mais il l’encule! dit Pedro.
    
    La grosse Rosa le saisit par la queue, et me fit signe d’approcher. Elle se mit à nous sucer tous les deux, mettant parfois les deux glands dans sa bouche, tandis que Jeannine ...