Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine
Datte: 05/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Langauchat, Source: Hds
... laissait monter beaucoup plus facilement que la dernière fois. Nous fûmes interrompus par de légers coups à la porte.
Je me retirai de Jeannine, la bite encore gluante, et vint ouvrir à Pedro.
Svelte et félin, celui-ci se déshabilla en un clin d’oeil. Sans dire un mot, il se tint debout devant le lit, gracieux comme un danseur. Il commença à sa masturber.
Jeannine n’était vraiment pas suceuse dans l’âme, car elle aurait eu beaucoup de plaisir à prendre cette jeune tige dans sa bouche austère. Elle aurait pu me lécher nos glands par des coups de langues salaces et intermittents, nous offrant le magnifique spectacle d’une vieille dame chic léchant comme une pute, d’une bite à l’autre, ou gobant les deux glands à la fois.
Aurais-je jamais le privilège de contempler Jeannine en train de sucer, Jeanine avec une queue dans la bouche, me regardant d’un oeil vif et volontaire en se roulant dans le vice.
Jeanine porta la main sur la queue de Pedro. Je m’avançai de l’autre côté du lit, afin qu’elle puisse également me toucher la bite. C’était un plaisir de voir la jolie vieille dame branler deux bites avec de petits gestes secs et assez maladroits. Elle était excitée par l’idée de ce qu’elle faisant, elle, à plus de soixante-dix ans, branlant une homme de quarante ans et un autre de vingt. Elle aimait se voir en vieille salope, mais ne cherchait pas réellement à donner du plaisir à ses amants. Jeannine branlait très mal.
Pedro monta sur elle comme je l’avais fait. Je ...
... vis ses fesses musclées monter et descendre sur la grand-mère aux cuisses écartées comme une grenouille. Il éjacula après une longue chevauchée progressive et efficace, qui fit monter les soupirs de Jeannine.
Après avoir fini, il se rhabilla, me claqua de la paume de la main dans la mienne avec un air complice, et sortit comme s’il avait tiré une pute.
Pedro avait baisé la vieille dame avec une capote. J’enfilai Jeannine sans préparation, la queue nue. Elle savait qu’elle n’avait rien à craindre, mes dernières amantes ayant été de vielles dames frustrées qui n’avait pas baisé depuis longtemps. Jeannine restait sur le dos. Cette absence de fantaisie dans les positions paradoxalement m’excitait. J’avais l’impression de baiser une pute selon mes goûts, une pute mûre, atypique, distinguée, qui se laissait poinçonner la chatte passivement.
J’accélère un peu la vitesse du récit, qui sans cela s’étirerait trop.
Mise en confiance, Jeannine me laissa mettre en scène une séance de sexe à plusieurs dans sa chambre pour le lendemain soir.
Pedro avait discuté avec ses collègues. Je pouvais compter sur la présence d’un jeune coréen, ainsi que d’une femme de ménage boulotte, une petite brune de vingt-cinq ans qui s’appelait Rosa.
Je pensais que Jeannine n’aimait pas les femmes. Aussi lui demandai-je de se bander les yeux.
La jeune Rosa entra dans la chambre avec le coréen. Elle n’était pas gâtée par la nature. Ses traits assez lourds s’harmonisaient avec son corps qui ...