Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine
Datte: 05/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Langauchat, Source: Hds
... une dizaine de centimètres avaient suffi à convertir la jolie vieille dame en adepte de la bite, en salope assoiffée de plaisir, comme si, en cette seconde, sa personnalité, construite pendant toute une vie, s’était écroulée comme un château de cartes, pour faire place à une femme inconnue, qui avait pourtant toujours été là, une deuxième Jeannine, pleine de mouille, heureuse d’avoir de gros seins, une Jeannine à la peau douce, qui désormais s’arrangerait pour se faire fourrer régulièrement par de la bonne queue.
Jeannine se passa la main dans les cheveux. La question qu’elle me posa, malgré son apparente retenue, supposait de sa part une énorme curiosité pour l’aspect purement sexuel de mes relations avec mes vieilles amantes.
- Ces femmes dont vous parlez, c’étaient plutôt des amies, un peu comme des mamans?
J’entendais sa véritable question: « Avez-vous vraiment joui dans les fesses de la vieille Brigitte, que vous me décrivez comme une dame chic au chignon blond? Avez-vous eu envie de laper les fentes de ces dames, étiez- vous pleinement satisfait après une séance de sexe avec ces vénérables grand-mères? Un jeune homme comme vous avait-il plaisir à se faire sucer par quelqu’un comme Brigitte? A 75 ans, cette bourgeoise se donnait-elle la peine de bien faire aller sa langue sur vos boules, sa langue était-elle bien douce lorsqu’elle vous gobait le gland, pour autant que cette scène ait existé? »
Je n’allais pas détruire l’atmosphère confiante et intime qui se ...
... tissait peu à peu avec ma rousse interlocutrice en devenant trop concret.
Au lieu de répondre: - Brigitte m’offrait ses fesses tous les jours, son petit anus m’a pompé une quantité incalculable de foutre. Katharina mouillait comme une truie, Monique me léchait le cul gentiment, Solange jouissait immanquablement chaque fois que je la montais, et arrivait même à gicler très loin quand je stimulait son point g. Une grand-mère fontaine aux gros nichons, petite, soignée, se faisait touiller le vagin par la main d’un jeune homme concentré, passionné de l’entendre rugir en giclant comme une possédée.
- Je n’ai jamais connu d’amantes aussi ardentes que Brigitte. Avec elle, j’ai vécu tout ce dont un homme peut rêver dans un lit.
Jeannine ne répondit pas, mais regarda sa montre d’un geste brusque, et se remit à se plaindre de son mari.
Ce n’est que plus tard que je guidai la conversation vers des domaines plus sensuels, par d’amusantes et élégantes taquineries.
Je finis par avouer à Jeannine que j’avais écrit de nombreux récits obscènes, décrivant dans le détail tous mes ébats avec mes vieilles amantes. Stratégiquement, je me rétractai.
- Je ne pourrais pas vous dire comment trouver ces textes, bien qu’ils soient en ligne. C’est trop cru, cela vous choquerait.
Lorsque vint le moment de regagner nos chambres respectives, j’indiquai à Jeannine, comme à contre-coeur, comment accéder à ces textes.
- Je vous aurai prévenue…j’espère que vous ne me bouderez pas demain ...