1. Marie Lise, d'épouse fidèle à chienne docile (1)


    Datte: 03/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... le temps de rendre pour Émilie cette situation plus acceptable.
    
    — Oui... sans doute oui... Mais comment ?
    
    — Eh bien, il y a un aspect du comportement de votre fille que j’ai passé sous silence devant votre mari afin de ne pas le blesser plus, mais il faut, pour l’aider, que vous sachiez tout.
    
    — Oui, dites-moi !
    
    — Eh bien voilà. Émilie, comme je vous l’ai indiqué à vous et à votre mari, a été surprise en train de pratiquer des fellations sur un groupe de garçons dans les toilettes du lycée.
    
    — Oui, et il y a donc autre chose...
    
    — Hélas oui. Elle l’a fait à la demande d’un homme auquel elle est entièrement soumise.
    
    — Oh non ! Elle serait sous l’emprise d’un... souteneur ?
    
    — Il n’y a pas de preuve qu’il en tire un bénéfice financier, on ne peut donc le qualifier ainsi.
    
    — Qui est ce monstre ?
    
    — Eh bien, il s’agit de notre jardinier, André L, un homme proche de la retraite qui...
    
    — Un vieillard ? Un membre de votre personnel ? Mais comment est-ce possible ? Ne pouvez-vous le renvoyer ?
    
    — J’ai bien peur que ce ne soit pas si simple. Encore une fois, votre fille est majeure et tout scandale rejaillira sur elle et sur vous, sa famille. Croyez-moi, il vaut mieux tenter, dans votre position, une autre approche. Voulez-vous boire un verre ?
    
    — Avec joie oui, je pense en avoir besoin.
    
    Jack lui tendit un verre de whisky en posant la main sur son épaule laissée nue par l’ample col du chemisier, effleurant la bretelle du soutien-gorge dans une ...
    ... caresse avant de reprendre place face à elle. Émue par ce premier contact, Marie Lise retrouva une ambivalence qui l’arracha au choc d’imaginer sa fille entre les bras d’un vieil homme. Sans s’en rendre compte, elle but son verre d’une traite, comme on absorbe un médicament. Naturellement, Jack se releva, la resservit et serra cette fois tendrement sa nuque entre ses doigts avant de se rasseoir.
    
    — Voyez-vous, commença-t-il, j’ai tourné le problème dans tous les sens et je ne vois qu’une manière pour vous d’aider votre fille. J’ai peur malheureusement qu’elle vous paraisse si scandaleuse, si choquante que vous ne quittiez précipitamment ce bureau après l’avoir entendue et que vous ne me parliez plus jamais.
    
    — Oh, alors ça, je peux vous assurer que c’est tout à fait impossible !
    
    Marie Lise s’était surprise à accompagner ces mots d’un geste vers le CPE. Se penchant en avant, elle avait attrapé la main de l’homme et l’avait serrée bien plus fort que les convenances ne le permettaient à une femme dans sa position.
    
    — Croyez bien Marie Lise... Vous permettez que je vous appelle par votre prénom ? Croyez bien que j’ai hâte que cette histoire soit derrière nous et que nous puissions... vous et moi... eh bien, apprendre à nous connaître mieux.
    
    — Oh oui, Jack, j’ai hâte moi aussi, si vous saviez combien j’ai hâte...
    
    Marie Lise qui venait de vider son second verre était maintenant au bord de sa chaise, le buste incliné vers l’avant, toute entière tendue vers Jack. Ce dernier ...
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