Marie Lise, d'épouse fidèle à chienne docile (1)
Datte: 03/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... fond pour remarquer ces détails de forme.
— Comprenez-nous, avait argumenté Jack, à demi assis sur un angle de son bureau, s’adressant au couple en contrebas, toute autre élève aurait été renvoyée sur-le-champ dans ces circonstances. Mademoiselle T ne doit son maintien dans nos effectifs qu’à l’excellence passée de ses résultats et aux liens historiques qui unissent sa famille à notre lycée...
Le père avait bien compris et sorti son chéquier, tandis que Marie-Lise était partagée entre l’épouvante de ce qu’elle venait d’apprendre et la perspective d’une émotion qu’elle n’avait plus connue depuis son adolescence.
Profitant de l’absence de Monsieur T, sorti pour répondre à un coup de fil important, Jack prit place sur le siège qu’il venait de libérer et se pencha vers Marie Lise, lui parlant sur le ton de la confidence.
— Vous savez, je suis comme vous, très inquiet pour Émilie, mais j’ai bien peur que la marge de manœuvre soit très étroite. Elle est majeure, voyez-vous, et responsable de ses actes. Le fait qu’elle ne soit pas renvoyée ne résout rien sur le fond. Je crois cependant que vous, Madame, pourriez faire quelque chose pour elle.
— Ah oui ? De quelle manière ? Je suis prête à tout pour aider ma fille vous savez, et j’ai en vous toute confiance, dites-moi donc quoi faire et je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire !
— L’affaire est délicate et votre mari ne va pas tarder à revenir. Il vaudrait mieux que vous reveniez ultérieurement, que nous ...
... puissions nous entretenir seul à seul, vous et moi.
— Oh mais oui, bien entendu. Je ne travaille pas, ce sera quand vous voudrez.
C’est ainsi que Marie Lise, quelques minutes avant de recevoir l’injonction de se mettre à genoux, entra un soir dans le bureau du CPE au comble de sa beauté. Le tailleur St Laurent, la coiffure de chez Christophe Robin, le parfum, jusqu’aux sous-vêtements et tous les autres détails de toilette pourtant supposés demeurer invisibles : Marie Lise avait mis toutes ses forces dans la bataille, sans savoir ou oser s’avouer contre quoi ou pour quoi elle combattait.
— Je n’irai pas par 4 chemins Madame, au risque de vous choquer et de vous voir quitter ce bureau plein de mépris pour moi, il me faut vous avouer combien vous me troublez et combien j’aimerais, si les circonstances s’y prêtaient... vous faire la cour.
— Oh mais Monsieur, vous ne dites là rien de choquant. Je vois bien que vous êtes un homme sensible et, bien que mariée, je reste femme et je crois que vous avez bien perçu que vous ne m’êtes pas indifférent non plus. C’est sans doute ce qui vous aura donné le courage de m’avouer votre...
— Malheureusement, rien n’est possible pour le moment.
— Ah oui ? Oh, mais pourquoi donc ?
— Eh bien à cause de l’histoire de votre fille. Cela prend bien entendu trop de place dans votre vie pour que votre cœur soit disponible...
— Ah oui bien sûr, ma fille... mais...
— Il nous faut donc repousser ce que nous éprouvons l’un pour l’autre ...