Marie Lise, d'épouse fidèle à chienne docile (1)
Datte: 03/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... avança son visage vers le visage empourpré de la femme et posa sa main sur son genou.
— Chère Marie Lise, notre histoire ne pourra commencer qu’une fois les obstacles surmontés. Êtes-vous prête à tout pour aider votre fille, c’est-à-dire dire... vraiment tout ?
— Je ferai tout ce que vous voudrez... tout ce que vous me demanderez... pour aider ma fille.
— Bien alors, je crois que pour aider Émilie, vous allez devoir... lui prêter main forte.
— Lui prêter main forte ? Qu’entendez-vous par là ?
— J’ai conscience que ce dont je parle vous fait horreur, et c’est très dur pour moi de vous le proposer, mais croyez-moi, le seul moyen pour alléger les tourments d’Émilie, ce serait de la seconder dans la voie qu’elle a choisie.
Jack tout en parlant, avait remonté sa main le long de la jambe et pressait désormais le haut de la cuisse. Aucun autre homme en dehors de son mari et de son premier amoureux ne l’avait jamais touchée de cette manière. Envoûtée par la voix ronronnante de Jack tout autant que par ses caresses, embrumée par le Whisky, Marie Lise était plus disposée à l’abandon le plus complet qu’à l’esprit critique et ne voyait toujours pas dans ce flot de chaudes paroles d’objection majeure.
— Comprenez-moi bien, c’est la mort dans l’âme que je vous indique ce chemin, le chemin de la dépravation, si loin de vos valeurs, aux antipodes de votre élégante pudeur...
— La dépravation ? Vous voulez dire que...
— Oui ma chérie, oh pardonnez-moi, le mot m’a ...
... échappé...
— Oh, ne vous excusez pas... mon chéri !
Oubliant déjà ce qui venait d’être dit, elle se pencha encore pour cueillir un baiser, mais Jack poursuivit :
— Ma chérie, l’idée de vous donner à cet homme, à tous ces hommes m’est odieuse, mais je pense avant tout à vous et à votre fille, avant de penser à moi-même et aux sentiments qui naissent en moi. Il n’y a pas d’autre solution, j’en ai peur.
Des bribes de conscience montaient enfin à la surface de la conscience de Madame T et s’imposaient à elle, mêlée à une espèce de valse amoureuse avec Jack, des images d’hommes vieux et poilus ou jeunes et imberbes abusant d’elle en ricanant.
— Si vous acceptez, je serai toujours là pour vous protéger et je serai même... parmi ces hommes si vous le souhaitez...
Se voyant aussitôt entre les bras de Jack, Marie Lise chassa au loin, comme de minuscules scories les autres hommes qui avaient auparavant envahi son imaginaire.
— Jack... mon chéri... je ferai ce que vous voudrez, dit-elle, le regard embué de larmes.
— C’est bien ma chérie, c’est la bonne décision. Mais il y a une condition. André a été très clair dans ses exigences. Il veut bien que vous partagiez le fardeau de votre fille, à la condition que vous soyez tout aussi docile qu’elle et tout aussi bien disposée à l’égard de ses... fantaisies.
— Ses fantaisies ?... Mais... vous lui avez donc parlé ?
— Oui, je ne pouvais vous faire une telle proposition sans savoir si elle pouvait aboutir. J’ai la ...