1. Marie Lise, d'épouse fidèle à chienne docile (1)


    Datte: 03/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    — Je suis une vieille salope !
    
    Radieuse quadragénaire, mère dévouée et épouse fidèle à la mise toujours élégante et aux manières impeccables, Madame T méritait moins que quiconque ces deux qualificatifs. C’est pourtant ce qu’elle affirmait, face caméra, tandis que Jack Leplantier, CPE du lycée Henri IV, triturait le téton de son sein gauche.
    
    — Répète après moi : « Je suis une vieille salope et je ferai tout ce que vous et vos amis me demanderez ! »
    
    — Je suis une vieille salope et je ferai tout ce que vous et vos amis me demanderez !
    
    — C’est bien, tu apprends vite.
    
    Jack délaissa le téton malmené et caressa l’ovale du visage de Marie Lise avant de toucher ses lèvres pulpeuses du bout des doigts.
    
    — Aimes-tu sucer ?
    
    La question propulsa Marie Lise 25 ans en arrière, dans ce même lycée, dans une classe déserte où elle avait prodigué la seule et unique fellation de sa vie à son amoureux de l’époque, cédant à l’insistance de ce dernier qui devait quitter la France le lendemain pour suivre son père ambassadeur à l’autre bout du monde. Elle se souvenait vaguement des sensations éprouvées, mais gardait précise dans sa mémoire la surprise éprouvée lorsque sa bouche se remplit soudain d’un liquide qu’il lui parut naturel d’avaler et plus nette encore la grimace gênée sur la figure de son amant après qu’il eut esquivé un dernier baiser.
    
    Depuis, elle avait systématiquement refusé cette option à son mari, seul autre homme qu’elle eut jamais connu jusqu’alors et qui ...
    ... depuis longtemps avait renoncé à la lui réclamer.
    
    — Tu es là, salope ?
    
    — Heu... pardon, oui. Enfin, oui je suis là, mais non, je n’aime pas... heu... sucer.
    
    — Ah... c’est embêtant. Es-tu prête à faire des efforts ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    — C’est très bien. Tu es une bonne salope. Agenouille-toi maintenant.
    
    Une semaine plus tôt, dans ce même bureau, tandis que son mari remplissait un gros chèque au nom de Jack, Marie Lise ne pouvait s’empêcher, en dépit des circonstances d’observer cet homme à la dérobée et d’en éprouver le même plaisir clandestin qu’à chacune de leurs rencontres.
    
    Même ce jour-là où, cédant à l’insistance de Monsieur de T à lui remettre une « gratification personnelle », Jack acceptait un pot-de-vin, Marie Lise continuait à lui trouver des manières élégamment désinvoltes, une sorte de détachement viril qui résonnait en elle comme un bourdon de cathédrale. Pour le remercier de sa « bonne volonté » à l’égard de leur fille Émilie qui ne serait pas renvoyée du prestigieux lycée en dépit de son « comportement inqualifiable à l’égard de certains garçons », Monsieur T n’avait pas hésité à verser au CPE l’équivalent de son salaire annuel, ce qui n’empêcha nullement ce dernier de prendre acte de l’intérêt que Madame T lui portait.
    
    Souriant, il la fixait pendant l’échange qui avait précédé avec plus d’insistance qu’il ne regardait son mari, plissant imperceptiblement les yeux, lui envoyant de discrets signaux au nez de ce dernier, trop absorbé par le ...
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