Maroc
Datte: 27/08/2022,
Catégories:
fhhh,
extracon,
Inceste / Tabou
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
confession,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... carrément pénible, et je m’éclipsai pour une courte sieste. Les yeux bordés de reconnaissance trahissaient un peu sa nuit agitée, et Marylou l’expliqua à ses collègues par sa difficulté à dormir en dortoir. Tout le monde abonda en son sens, car, malgré l’agrément du cadre, l’hébergement n’était pas adapté à un public adulte. Les gens ne sont jamais contents. La nuit suivante fut plus calme, nous avions besoin de repos. Nous fîmes l’amour avec plus de tendresse, mais pas moins de passion et nous endormîmes l’un contre l’autre. À l’aurore, un portable programmé nous réveilla et Marylou repartit comme la veille. Je me rendormis avec l’amère impression que la fête était bien finie.
Nos travaux touchaient à leur fin. Chaque groupe avait installé sur les ordinateurs portables les nombreuses modifications fournies, avec des procédures complexes pour ne pas altérer les données déjà saisies. Les tests semblaient positifs, un module particulier permettrait de transférer tout cela sur les réseaux dès notre retour.
Le retour. Il se passa sans presque un mot, dans l’atmosphère pesante de deux amants qui vont se quitter. Marylou avait ses règles, tout était presque parfait. Partis juste après le déjeuner, je la déposai directement chez elle avec une heure d’avance. Son mari sortit précipitamment en « marcel », assez ridicule, j’en profitai pour lui dire qu’une heure était donc récupérée, il n’en manquait plus qu’une. Mais ensuite, à part la complicité nouvelle de nos corps qui ne ...
... pouvait se traduire que par nos regards, plus aucune relation ne fut possible jusqu’aux vacances.
Pour la seconde fois de sa vie, Marylou devait partir pour le Maroc. La première fois avait été juste après son mariage, pour le fêter « au pays » et en famille, dans un faubourg de Casablanca. Cette fois, elle allait connaître une autre partie de sa belle-famille, la plus riche, aux portes du désert à Zagora. L’un des cousins de son mari y avait fait fortune, d’abord avec les caravanes traditionnelles, puis avec les transports motorisés. Il y possédait un riad somptueux, plusieurs femmes, et vivait, paraît-il, comme un prince des mille et une nuits.
Un mois plus tard, Marylou revint profondément transformée. Présente au bureau, mais l’esprit absent, elle commettait des erreurs inhabituelles, paraissait renfermée, ne m’adressait plus ni la parole ni un regard. Je m’en inquiétais, jusqu’à la énième bourde où je la convoquai dans mon bureau. Elle parut très gênée, regardait la moquette en me répondant maladroitement, me demandait quelque temps pour se réhabituer à la vie d’ici, car elle était toujours un peu restée mentalement au Maroc. Comme je m’agaçais, disant que tous étions aussi allés en vacances dans des contrées diverses, mais tous bien revenus et bien présents, elle craqua soudain et se mit à raconter, très vite, ce qu’il lui était arrivé là-bas.
Récit de Marylou
Je sus alors que je ne faisais plus partie des fantasmes de Marylou et que, à la lueur intense qui ...