Maroc
Datte: 27/08/2022,
Catégories:
fhhh,
extracon,
Inceste / Tabou
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
confession,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... permettre de sortir automatiquement des feuilles de paye personnalisées, sans l’intervention manuelle que Marylou pratiquait jusque-là.
Comme tous ces documents sensibles étaient stockés dans mon bureau, dans un meuble dont nous étions les seuls à posséder la clé, elle me demanda de s’y installer provisoirement. Elle apporta donc son ordinateur sur ma petite table ronde de réunion et commença de remplir cette fastidieuse base de données. Un bureau (le meuble), ça a un fond, qui cache les jambes des dames. Une table, pas. J’avais donc en ligne de mire les jambes de ma secrétaire qu’elle avait longues et fuselées, avec des cuisses charnues à souhait. Je pouvais les mater tranquillement tandis que sa tête était masquée par l’écran. J’aimais entendre ce crissement de nylon lorsque les jambes se croisaient ou se décroisaient, voir ces chairs tendres s’épater sur le bord du siège. J’en vins également à constater que, pour cette occasion à durée déterminée, Marylou faisait des efforts particuliers dans le choix de ses dessous, car pas un jour elle ne portait les mêmes collants que la veille, et qu’ils étaient associés aux jupes les plus courtes de sa garde-robe. Elle ne prenait pas non plus la peine de tirer sur lesdites jupes lorsque celles-ci remontaient, sauf lorsqu’une tierce personne entrait dans mon bureau. Je trouvais cela plutôt sympathique et légèrement aguichant, sans rien d’outrageusement exagéré. Un processus de séduction discrète en quelque sorte.
Le ...
... problème, c’est qu’avoir une part de gâteau sous les yeux en permanence finit par donner faim. Je commençai donc à voir Marylou avec le regard de l’amateur de jolies femmes, et je me surpris à bander ferme à plusieurs reprises. Notamment un jour où, discutant de l’expérience d’un personnel, elle alla jusqu’à son dossier situé dans le tiroir du bas. Elle s’accroupit, sortit le dossier suspendu et l’ouvrit posé sur les autres, pivota pour me parler un genou plus bas que l’autre, si bien que de ma position dominante j’avais à la fois un œil sur la petite culotte et un autre sur une bonne partie du soutien-gorge, tous deux de la même dentelle. Le simple fait de penser alors qu’elle était à bonne hauteur et qu’il suffirait d’ouvrir ma braguette, et me voilà avec une gaule d’enfer, développée juste sous son nez. Son regard s’y porta puis croisa le mien, elle rougit jusqu’aux oreilles :
— C’est le cas Martin qui vous fait cet effet-là, demanda-t-elle avec un sourire gêné ?
— C’est plutôt votre goût pour les dessous en dentelle.
— Hé ! Mais ce n’est pas très sérieux, tout ça, alors que moi je vous parle sérieusement.
— Mais moi je bande sérieusement !
— Rhooo, si on nous entendait, fit-elle en se relevant, encore rouge écrevisse…
Sa jupe était restée ratatinée en haut des cuisses, mon envie fut trop forte. Une main derrière sa taille, je l’attirai tout contre moi et l’embrassai voracement. Elle gémissait de paroles qu’elle ne pouvait pas prononcer, mais en même temps me rendait ...