1. Maroc


    Datte: 27/08/2022, Catégories: fhhh, extracon, Inceste / Tabou vacances, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe confession, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... manifestations.
    
    Après le café d’accueil, le discours du grand patron venu tout exprès de Paris, nous pûmes enfin passer aux choses sérieuses vers dix heures trente. En fait, à part la pause méridienne pour un déjeuner copieux et très correct, nous bossâmes sans interruption jusqu’au dîner. Évidemment, à dix-huit heures une, le portable de ma secrétaire sonna. Son mari venait aux renseignements, comme il l’avait fait à midi. Elle lui chuchota qu’elle travaillait encore et qu’elle le rappellerait plus tard, il en profita pour ramener sa fraise et faire l’important sur les heures supplémentaires qui devraient être payées ou rendues.
    
    Après le dîner, dans le soleil couchant, pendant que Marylou faisait son compte-rendu à son époux en déambulant dans le parc, je partis en exploration du petit escalier près de ma chambre avec la petite lampe de poche que j’ai toujours dans ma trousse de toilette (ça peut servir !). Hormis quelques toiles d’araignées, je descendis deux étages environ et aboutis à une porte de bois dont la serrure ne fonctionnait plus depuis longtemps. Cette porte donnait directement sur l’extérieur, sur le mur perpendiculaire à la façade du château, c’est pourquoi nous ne l’avions pas encore vue. Magnifique : une entrée sinon secrète, du moins discrète. Quand ma dulcinée eut terminé, je lui fis visiter ma chambre en passant par le hall central et le grand escalier, plus ou moins surveillé par les employés du château. Elle s’extasia sur le luxe de la chambre, ...
    ... pesta contre les privilèges des chefs, voulut essayer mes toilettes extraordinaires, et je lui montrai l’escalier secret. Là, elle battit des mains. Je lui confiai ma petite lampe et nous prîmes rendez-vous vers minuit ; quand tout serait calme, elle ferait mine d’aller aux toilettes et viendrait me rejoindre, je l’attendrai à la poterne en utilisant mon briquet.
    
    Ce qui fut dit fut fait. Vers minuit quinze, une silhouette blafarde sous le clair de lune traversa la pelouse, nous montâmes la cinquantaine de marches en nous tenant par la main, pressés et fébriles comme deux collégiens qui font le mur. Gilet et chemise de nuit volèrent, à moi les gros seins et le fessier généreux de Marylou. Je me repus de ses formes avec l’appétit d’un mort de faim, elle s’offrait avec l’énergie et la soumission de quelqu’un qui fait l’amour pour la dernière fois de sa vie. Il nous fallut bien de la retenue pour ne pas faire vibrer ces vieux murs des éclats de notre plaisir. Toutes les positions ne suffisaient pas à calmer les ardeurs de nos trop anciennes frustrations, et tous ses orifices reçurent ma semence avec avidité. Je l’ai pétrie, sucée, léchée, pénétrée, pilonnée, embrassée, tétée, caressée jusqu’à perdre haleine, jusqu’à ce que le jour se lève. Elle fila vite reprendre sa place dans son dortoir, je m’écroulai jusqu’à huit heures.
    
    Une nuit de deux heures, c’est court ! Un litre de café et deux comprimés de vitamine C plus tard, nous reprîmes nos travaux. Le début d’après-midi fut ...
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