Maroc
Datte: 27/08/2022,
Catégories:
fhhh,
extracon,
Inceste / Tabou
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
confession,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
En m’installant dans ce nouveau poste, on m’avait donné le kit complet : un ordinateur tout neuf, un grand fauteuil tout neuf, une voiture de service toute neuve, un téléphone portable tout neuf (encore rare à l’époque) et une secrétaire de direction. Elle n’était pas toute neuve et heureusement, car, c’est bien connu, les secrétaires en savent plus que leurs chefs sur le fonctionnement du service. D’une part elles traitent tous les dossiers et ce sont elles qui les classent et savent où ils sont, d’autre part en cas de changement de direction, elles sont la mémoire du service. C’était le cas. Les premières semaines, je travaillais donc presque en permanence avec Marylou, les trente-cinq ans triomphants, à l’apogée de son éclat, blonde aux cheveux courts, yeux bleus, poitrine avantageuse, taille marquée, hanches rondes et un de ces postérieurs qui pochent les jupes. Elle était vêtue sobrement, généralement en tailleur et chemisier, mais toujours avec un petit détail coquin qui laissait à penser que tout était possible, comme un bouton défait un peu trop loin laissant entrevoir un soupçon de dentelle sexy.
Si je remarquais tout cela, c’est que, c’est bien connu, on passe plus de temps avec sa secrétaire qu’avec son épouse, surtout quand on est divorcé. L’inverse est vrai pour elle également. Mais cette période d’adaptation ne nous laissait guère le temps de penser à autre chose qu’au travail, il me fallait être opérationnel et performant le plus vite possible. Et puis il ...
... faut du temps pour faire connaissance et se sentir en confiance, avant d’envisager autre chose. Les rares moments de convivialité que nous nous octroyions étaient deux pauses de cinq minutes en milieu de matinée et d’après-midi autour de la cafetière, mais avec toute l’équipe de direction. Par ailleurs, Marylou était très professionnelle et faisait un travail sans reproches. Elle n’avait qu’un défaut, si toutefois c’en est un, dès midi sonné elle était dans sa voiture, pareil à dix-huit heures.
Il fallut presque un an pour qu’une certaine complicité s’instaure entre nous. C’était un petit compliment sur sa tenue le matin en arrivant, un clin d’œil complice dans le dos d’un client pénible, un déboulé dans mon bureau en me chuchotant :
— J’ai Untel au téléphone, je vous le passe ou vous n’êtes pas là ?
Eh oui, nous avons tous des « réunions de circonstance » pour éviter les importuns. Nous nous mîmes également à échanger sur certains dossiers, sur certaines personnes, en somme à avoir de plus longues conversations que le simple échange d’informations indispensables. Puis arriva un grand changement du logiciel de paie, et non seulement le transfert des données de l’un à l’autre était impossible (l’ancien tournait sous MS-DOS et le nouveau sous Windows en réseau), mais en plus les renseignements individuels à fournir étaient plus nombreux. Ainsi, des éléments comme l’ancienneté, la distance du domicile, le nombre d’enfants et l’âge du capitaine étaient dorénavant censés ...