La Reine Léa et le Nain (1) - Histoires de Sexe

La Reine Léa et le Nain (1)

... cela de constater à quel point elle le tenait tassé au fond de la bassine avec une facilité déconcertante.

Sans même avoir le temps de respirer et reprendre ses esprits, Léa se courba un peu vers son soumis, sans pour autant plier le genou d’une quelconque manière.

— Si tu m’obéis, tu auras une vie de chien. Mais si tu me désobéis, tu envieras le sort des cloportes. Écoute bien : résiste-moi et je te briserai. Si tu dis un mot de trop, je te défoncerai la mâchoire, si tu complotes je te démembrerais moi-même, si tu ne me satisfais pas, je t’arracherai les bourses et je te les ferai avaler jusqu’à que tu suffoques. Est-ce que tu as compris ?

Steiner avait le plus grand mal à contenir ses tremblements. Il était terrifié. Il se décida à garder le silence. Sa volonté avait été anéantie en quelques instants. Deux tirades avaient suffi.

Léa afficha un sourire contenté. C’était presque trop facile.

Le pauvre homme reprit ses esprits quand il sentit sur ton visage un liquide chaud couler abondamment. Il redressa la tête vers son bourreau pour constater qu’elle avait décidé de se soulager sur lui.

La colère monta en lui, mais alors qu’il commençait à puiser en lui la force nécessaire pour lutter, une demande encore plus humiliante retentit à son oreille.

— Avale.

Il se tétanisa plus encore. Allait-elle aller jusqu’à cet affront ?

— Avale.

Cette deuxième sommation n’était pas plus rassurante qu’une lame placée sous le cou.

Il ouvrit la bouche.

Et ...

... le liquide jaune s’infiltra dans sa gorge. Il déglutit.

— Bon chien chien.

Léa exultait. Vingt ans de frustration pouvaient enfin exploser sous la forme d’un jeu des plus machiavéliques. Elle ne connaissait guère cet homme, mais pour elle, il avait le visage de tous les autres. Et à travers son supplice : ils allaient tous payer.

Les dernières gouttes s’écoulèrent de son urètre et elle se baissa pour essuyer son sexe sur le visage du nain.

Elle se demanda si elle avait envie d’oser encore pire en se soulageant totalement sur sa tête d’aristocrate soumis, mais l’idée d’être incommodée par l’odeur la dissuada d’aller si loin. Mais peut-être un jour, il deviendrait son torche-cul. Son envie d’humilier ce petit être était si forte qu’elle se demandait déjà bien pire.

Mais la situation, à son grand étonnement, commençait à l’exciter. Elle aimait voir ce nabot ainsi soumis à ses désirs. Et il lui vint alors en tête moult perversions qu’elle avait désormais envie d’assouvir.

Elle s’en alla vers le lit, quittant la bassine, les pieds dans son urine, qu’elle essuya nonchalamment sur le pauvre petit être tapi dans sa honte.

Se mettant à l’aise sur les draps, elle regarda le petit homme peiner à se sortir de la grande bassine sans échelle. Et savourant de le voir ainsi peiné, en aussi mauvaise posture, elle caressa ses seins d’une main tandis que l’autre alla se glisser entre ses cuisses.

Steiner regarda cette femme se masturber doucement en le regardant ainsi ...