1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... ce que j’avais mijoté, mais je m’étais préparé. Aussi n’en apprit-elle pas plus que ce qu’elle savait déjà, à savoir : rien.
    
    — Bon. Je vais fumer. Tu viens ?
    — Ouais. Mais pas comme ça.
    — Merde. J’ai laissé ton imper dans l’auto.
    — Bah, va le chercher.
    — Viens, tu le passeras en bas. Après toi, Mamour.
    
    Elle fixa la porte ouverte, puis se décida à la franchir. Nicotine, je t’aime !
    
    Hormis la femme qui nous avait accueillis, on ne croisa personne. Cigarette aux lèvres, ricanant en silence, j’ouvris le coffre et lui tendis son imper.
    
    — Salaud !
    — Quoi ? Qu’est-ce que j’ai encore fait ?
    — T’as coupé les boutons !
    — Oui. De toute façon personne ne porte un imper par une belle nuit d’été.
    
    Je réussis à la convaincre d’une balade dans l’énorme parc de l’hôtel. Elle accepta, plus pour ne pas faire le pied de grue devant l’entrée que pour me faire plaisir, mais je savourai l’instant de marcher à son côté, regardant ses jambes se dévoiler à ma vue plus que le sol.
    
    — Bave si tu veux, mais t’en auras pas plus, me certifia-t-elle qu’elle n’était pas dupe.
    — C’est plus qu’espéré, Mamour.
    
    Seconde cigarette fumée, nous étions enfin revenus au point de départ. Galamment, je la laissai me précéder. Jamais je ne me lasserai de le mater, ce cul.
    
    — T’es vraiment le roi des crétins !
    
    La chemise de nuit n’était pas un oubli. C’était volontaire. Qu’elle soit en rogne de devoir dormir nue était plus que prémédité. C’était dans le haut de la liste.
    
    La chambre était ...
    ... dans le noir, une aubaine. Je la savais ruminer, elle qui regardait toujours la télévision avant de s’endormir, alors je mis longtemps après m’être douché avant de la rejoindre.
    
    Couché, je cherchai sa cuisse et posai la main dessus. Il n’est pas un soir depuis que l’on dort dans le même lit sans que je ne lui caresse la cuisse avant de m’endormir.
    
    — T’as fait exprès, hein ?
    — Oui, Mamour.
    — T’espère quoi ? Me faire changer ?
    — Non ! T’es parfaite, Mamour.
    
    Un long silence s’installa. Même si elle acceptait que j’aie la main posée sur sa cuisse, immobile certes, je la sentais crispée.
    
    — OK, t’organises, OK, je te suis, mais t’attends pas à ce que je te suive dans tous tes délires.
    — Délires ! T’es juste nue. J’ai pas…
    — Stop ! Dis plus rien… Suce-moi !
    
    ooOoo
    
    J’ai dormi comme un loir. Pas jouis, mais pas important. Au réveil j’avais encore le goût de cette victoire en bouche, fier de n’avoir pas craqué.
    
    À la faible lumière matinale perçant les doubles rideaux, j’ai pris un incroyable plaisir à la regarder, allongée au-dessus du drap. L’absence de climatisation m’aura offert cette vision : ma femme somnolente sur le dos. Une première.
    
    Malgré nos douze années de vie commune, jamais elle ne s’était endormie sans nuisette. Alors j’ai savouré l’instant, longtemps, me demandant si glisser entre ses cuisses de si bon matin me serait permis. Je ne sais que trop qu’elle n’est pas du matin. Niveau câlin, j’entends. Pas que je le sois vraiment plus, mais de la ...
«12...678...33»