1. La Vicomtesse


    Datte: 17/08/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, campagne, voyage, amour, Masturbation pénétratio, double, fsodo, historique, historiqu, initiatiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... impatientes qui la pourfendaient en poussant spasmodiquement sur ses jolis bras blancs. Elle donna ainsi la cadence du plaisir, maîtresse malgré elle de l’orchestre des sens. Les deux hommes ahanaient sous l’insatiable désir de cette beauté en délire, au paroxysme du plaisir.
    
    L’indigène des îles plantait pour la première fois son dard dans une femelle aussi pâle. Il la trouvait étroite comme une enfant d’une douzaine d’années, juste quand la nature décide d’en faire une femme, et qui bénéficiait aussitôt des attentions du village. La famille choisissait celui qui lui semblait le plus vigoureux et le plus apte à faire de la jeune vierge une déesse d’amour, devenant ainsi une gloire familiale, en chaque lieu ses coutumes. Compte tenu de son physique de colosse et de sa réputation de calme et de douceur, Toussaint avait ainsi défloré plus de la moitié des jeunes femmes de son village au cours de semaines d’incessants rites vaudou au son des tam-tam. Son puissant pénis était presque devenu objet de culte, des femmes même mariées venant l’honorer en plein village de leurs mains et de leurs bouches, espérant ainsi retrouver qui fécondité, qui plaisir avec leurs conjoints.
    
    Ceux-ci, d’ailleurs, n’en prenaient pas ombrage, l’initiateur de leurs épouses avides de sexe ayant bien travaillé. C’est dire que le cul de Gwendoline n’eut pas à pâtir des puissants coups de boutoir de Toussaint, bien au contraire. Il l’emporta dans une félicité inouïe, et elle perdit totalement ...
    ... conscience quand les deux priapes accordés l’inondèrent de leurs liqueurs fertiles. Celle de l’indigène notamment jaillit avec une telle puissance, qu’elle crut en ressentir le goût sur sa langue, venu de l’intérieur, lorsqu’elle perdit conscience. Elle se réveilla entre ses deux étalons, les fesses baignant dans des miasmes odorants, se croyant déjà dans un autre monde de liberté et de plaisirs absolus. Elle saisit spontanément les dards qui l’avaient portée à ce miracle sensuel, les caressant des deux mains pour les remercier.
    
    — C’est décidé, Chevalier, lorsque vous repartirez, vous m’emmènerez avec vous.
    
    Les bateaux attendus arrivèrent enfin, chargés de leurs trésors inconnus. En quelques jours, il ne fut plus question dans Paris que de ces denrées prodigieuses, et même les cuisines du roi n’en finissaient pas de rassasier la cour de ces saveurs étranges et envoûtantes. Rhum, noix de coco, bananes, sucre, cacao, mangues, papayes s’arrachèrent à prix d’or jusqu’au dernier, jusqu’au plus défraîchi par le long voyage. Toujours vêtu de ses habits râpés, le Chevalier vint en carrosse rencontrer le notaire, apportant avec lui des malles d’écus au vieil homme abasourdi. Ils s’enfermèrent tous deux de longues heures, à la grande inquiétude de Gwendoline qui ne savait qu’en penser. Enfin le Chevalier sortit de l’étude et, sourire aux lèvres, fit son élégant salut en direction des fenêtres de sa maîtresse, certain de la revoir dès le lendemain. Afin de la tranquilliser et de lui ...