1. Comment Marika l'a vécu


    Datte: 14/08/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, fplusag, jeunes, couleurs, extracon, cadeau, candaul, alliance, gros(ses), grossexe, taille, boitenuit, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... sous la douche pourrait figurer sur le Guinness des records quant à la rapidité et retour dans la chambre complètement à poil, son magnifique membre tapant son nombril. Je crois qu’il a compris le sens de mon cadeau d’anniversaire.
    
    — J’arrive pour le cadeau d’anniversaire.
    — Bien, mais il faut le déballer avant de consommer, je minaude.
    
    À genoux devant moi, mettant devant mes yeux affamés l’exubérance de ses sentiments, droite et fière, il commence à enlever ma nuisette pour dévoiler ma poitrine et une fois ceci fait, il se jette comme un glouton sur mes seins, il les embrasse, les lèche, les suce puis monte vers ma bouche pour m’embrasser comme les grands, avec la langue. Tiens, je pense qu’il a dû prendre des cours privés sans m’en informer. Il se débrouille super bien, il faut que je me cramponne à quelque chose et tout naturellement je lui saisis le sexe, il est beau dans sa couleur chocolat avec son gland magnifique en forme de cep, je le secoue très doucement, car je sais qu’en principe les jeunes, cela part souvent comme des allumettes.
    
    — Viens, prends-moi, cela fait longtemps que j’en rêve.
    — Attends un peu, je veux d’abord te déguster.
    
    Il est un peu maladroit, mais c’est divinement excitant. Les papillons dans mon ventre font un drôle de ramdam et sans attendre, il m’ouvre les cuisses et plonge sa tête vers mon écrin. Cela devient complètement dingue.
    
    — Viens, je te veux en moi maintenant.
    
    Alors il se relève et approche sa matraque de ma ...
    ... caverne des délices et d’un coup brusque la plonge au tréfonds de mon être. Là, je suis remplie comme je ne l’ai jamais été. C’est qu’il a un sacré bambou le Bambou. Enfin je l’ai tout à moi et moi je me sens comme tout à lui. Le reste ne compte plus, il n’y a plus que son piston qui chemise ma bielle. Je me colle à lui pour gagner quelques centimètres, je suis complètement crispée. Je sens un orgasme monter, monter pour éclater dans une gerbe de couleur dans ma tête à m’en faire péter la cervelle.
    
    Contrairement à ce que je pensais, il ne s’est pas lâché et il continue à me prendre vigoureusement, si fort que je sens à nouveau les papillons se réveiller et comme en 14, ça repart. C’est bon de se faire aimer par un sexe dur et vaillant. On sent le sportif qui sait se maîtriser. Finalement, on part les deux dans les cieux des amoureux. Délicatement, il se retire de moi et se mettant sur le flan, il a les yeux fixés sur moi.
    
    — Marika, merci pour ton cadeau, c’est le plus beau que je peux imaginer. Cela fait longtemps que je suis attiré par toi. En fait depuis mon premier but de rugby. Tu te souviens ?
    — Pour moi aussi c’est cadeau. Je dois te dire que Jules ne peut pratiquement plus me faire l’amour avec son diabète, il n’arrive plus à bander. Les léchages, pelotages, c’est agréable, mais cela ne remplace pas un vrai sexe perforant et performant.
    — Tu sais, tu peux venir à chaque fois que tu en ressens le besoin, je serai toujours là pour toi.
    — Je te demande la discrétion ...
«1234...»