1. Une collègue a besoin de réconfort (1)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... dans cette position immobile quelques secondes, le temps qu’elle savoure.
    
    Elle se retourna finalement et je quittais à contrecœur sa fente. Elle me prit dans ses bras : « ça m’a fait du bien Chouchou... Tu peux pas savoir... J’en avais besoin... Ah lalala... ».
    
    Après quelques secondes, j’attrapais sa main pour la guider sur mon pieu. Elle constata que j’étais encore tendu. Posant une main sur sa joue tout en commençant à me masturber de l’autre elle s’exclama : « Merde !... Oh pardon Chouchou... Je t’ai encore oublié ».
    
    Elle me fit assoir, s’agenouilla près du canapé et entreprit une fellation dynamique, sa tête descendant et remontant à un rythme bien plus rapide que lors de la première pipe.
    
    Elle parlait tout en m’astiquant : « je suis impardonnable Chouchou... Désolée... Mais en même temps, j’aimais tellement ce qu’on faisait... ».
    
    Elle s’arrêta. Me regardant droit dans les yeux : « Et puis... J’avais envie... Oui ! (A ce moment il y avait comme une étincelle dans ses yeux) Ah ça, oui : j’avais envie... Ce p’tit con m’a trompée avec cette p’tite conne... Et pendant ce temps-là, je me demandais pourquoi il me faisait plus l’amour... Il baisait sa pute... ». A ces derniers mots, j’étais hyper-excité...
    
    — Allez, je vais plus faire semblant... C’est bon maintenant... Tu t’es occupé de moi, c’est donnant-donnant... Allez...
    
    A peine avait-elle fini de dire ces mots qu’elle revenait sur le canapé, accroupie au-dessus de moi, guidant ma pine entre ses cuisses. ...
    ... Toute souriante, radieuse et coquine elle me dit : « Allez... laisse-toi faire chouchou... laisse-toi faire... ».
    
    Elle gloussa et s’empala sur moi. Imprimant mécaniquement un rythme effréné. Elle avait décidé de me faire jouir au plus vite. Elle souriait, montant et descendant, toujours accroupie. Et ses seins ! Ils ballotaient toujours... Une partie de ses cheveux tombaient sur un côté, couvrant légèrement l’un de ses seins. Elle était débridée comme une petite sauvageonne déchaînant son corps sur ma bite.
    
    Son traitement me fit rapidement effet. Après une dizaine de va-et-vient intenses, je me sentis exploser. Je ressentis une vague de chaleur dans tout mon corps.
    
    — Ah... Mon chouchou... ça va mieux ?
    
    — Oh oui ! lui répondis-je. « C’était super ».
    
    Nous restions quelques minutes dans les bras l’un de l’autre. Puis, Célia revint à la réalité.
    
    — Oh lalala, chouchou... Qu’est-ce qu’on a fait ?
    
    — Rien de différent de ce que ton mari fait avec sa maîtresse.
    
    — Quel salaud ! Oui... Quel salaud ! Mais tu as raison chouchou... On a fait pareil...
    
    — non... Pas pareil... Mieux ! Célia sourit, elle était contente.
    
    Puis elle reprit quand même sa réflexion. « Et maintenant ? Qu’est-ce qui va se passer ? Hein chouchou ?... »
    
    J’étais un peu embarrassé, mais en même temps, je voulais qu’on continue. La soirée de ce soir laissait présager de super parties de jambes en l’air avec ma collègue toute timide, toute douce... Je ne l’imaginais pas si déchaînée niveau ...