1. Les racines du mâle (1)


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... qui déformait le short de ce salaud après la malheureuse exhibition de Sophie. Ma pauvre chérie avait dû le sentir passer.
    
    Je me souvenais avoir léché, plus tard, sa chatte dégoulinante. Pouah ! C’était le sperme de cet animal que j’avais lapé comme un chien assoiffé ! J’aurais dû m’en douter, il y en avait vraiment beaucoup !
    
    Furieux, je renonçais à faire semblant de dormir et allais à la recherche de Sophie. Je la trouvai dans notre chambre, allongée sur le lit dans sa belle robe. Elle me sourit comme si de rien n’était.
    
    — Tu as bien dormi, mon chéri ? Tu es tout pâle ! Tu n’es pas malade au moins ? Elle demanda d’une voix inquiète.
    
    — Mais qu’est-ce qui nous arrive ? Je murmurais d’une voix blanche.
    
    — A quel propos, elle demanda, un peu troublée quand même.
    
    — Je t’ai vue avec lui ! Je soupirais, ne doutant pas qu’elle allait nier.
    
    Elle ne le fit pas.
    
    — Oh, mon Dieu ! Elle gémit en portant ses mains à sa bouche.
    
    Incapable d’affronter la réalité, je m’enfuis de la chambre et retournai m’effondrer dans mon fauteuil.
    
    Elle me rejoignit cinq minutes plus tard et se mit à genoux devant moi, les larmes aux yeux.
    
    — Pardonne-moi, mon chéri ! Elle murmura en posant sa tête sur mes cuisses.
    
    — Je veux toute la vérité, tu entends ! Il te fait chanter ? C’est ça !
    
    — Noon ! Ce n’est pas son genre. Tu veux la vérité ? Je vais te la dire parce que je t’aime et que je ne veux plus qu’il y ait de faux-semblants entre nous... Tu te souviens quand il ...
    ... est venu la première fois ? Tu m’avais vraiment contrariée. Je me suis vengée pour te mettre dans l’embarras devant lui. Cela m’a bouleversée d’exhiber mes seins et ma chatte devant cet homme viril. Je mouillais tellement que ça dégoulinait entre mes cuisses. Je me suis sauvée dans la salle de bains pour me rafraîchir.
    
    — Après, je suis allée me reposer dans la chambre. J’avais une folle envie de me masturber. J’ai commencé à le faire puis je l’ai entendu travailler dans le jardin. Je me suis levée et je t’ai rejoint en peignoir pour m’excuser. Tu ronflais si fort dans ton fauteuil que je n’ai pas eu le cœur de te réveiller. Je suis retournée dans la chambre. Je n’ai pas pu m’empêcher de le regarder, en short et torse nu, par la fenêtre. Son corps puissant, brillait de sueur, ses muscles saillaient et jouaient harmonieusement sous sa peau luisante au soleil. Tout chez lui me troublait. Il m’a vue ! Son regard brûlant me paralysait. Il s’est approché de la fenêtre.
    
    — Montre-moi comme tu es belle !
    
    Il a dit d’une voix grave en écartant les pans de mon peignoir. Il m’a caressé les seins. Sa main était douce et chaude. Il m’a tirée vers lui. Ses doigts ont glissé sur ma fente dégoulinante. Il a souri puis a pincé mon clitoris et l’a fait rouler entre ses doigts. C’était tellement fort que mes jambes ont fléchi. J’ai gémi. Il a enjambé la fenêtre et est entré dans la chambre. J’ai paniqué. Je te jure que je voulais le repousser ! Il m’a jetée sur le lit avec une force ...
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