1. Les racines du mâle (1)


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... part, je lui dis.
    
    — Une petite robe d’été ?... Bon d’accord, comme tu veux ! Elle répondit d’un ton neutre.
    
    Satisfait par cette petite victoire, j’allais chercher Manu pour l’apéritif.
    
    — Tu retournes quand, au pays ? Je lui demandais, me rappelant vaguement qu’il prenait deux mois de vacances tous les deux ans.
    
    — Dans un an et quatre mois, il me répondit avec un sourire triste.
    
    — Ce doit être difficile aussi pour tes femmes.
    
    — Là-bas, ce n’est pas pareil. Il y a de l’entraide et j’envoie de l’argent au village.
    
    Sophie arriva avec un poêlon fumant. Je fus estomaqué par sa tenue carrément provocante. C’était la première fois qu’elle me faisait ce coup-là. Elle avait mis la tunique blanche, extracourte et translucide, qu’elle mettait comme sortie-de-bain à la plage. Sauf que là, elle n’avait pas de soutien-gorge. On devinait la forme de ses magnifiques seins en poire. Les aréoles étaient parfaitement visibles et les tétons perçaient le tissu léger. Heureusement qu’elle portait un petit tablier à dentelle devant son ventre.
    
    J’étais gêné pour moi et surtout, pour Manu. Le malheureux restait la bouche et les yeux grands ouverts par la surprise, le verre de coca à moitié plein près de ses lèvres.
    
    — Ça ne se fait pas ! Qui sait ce que Manu allait raconter à ses copains, lundi ? Elle est totalement inconsciente !
    
    Je m’inquiétai.
    
    — Mais ma chérie... Qu’est-ce... Qu’est-ce qui t’arrive ? Je bafouillais d’un ton de reproche.
    
    — C’est toi qui m’as dit ...
    ... de mettre une robe d’été ! Moi qui croyais te faire plaisir ! Elle protesta d’une flagrante mauvaise foi, en prenant une petite voix pleurnicheuse tout à fait énervante.
    
    Elle se retourna vivement et posa son plat sur la table en se penchant légèrement en avant. Je n’avais pas pensé que le tablier ne couvrait que le devant. Je découvris, effaré, qu’elle n’avait pas de culotte non plus ! Manu et moi, avions une vue directe sur son abricot duveteux et ses belles fesses bien rondes. La perfide avait préparé son coup de Jarnac en sachant l’effet qu’il allait produire car elle rentra rapidement dans la maison en pouffant dans ses mains, sans me laisser le temps de protester.
    
    Nous en avions pris plein les yeux ! Un ange passa avant que je me reprenne.
    
    — Je suis désolé Manu. Je ne sais pas ce qui lui a pris, je m’excusais, perturbé par la conduite de mon épouse.
    
    — Ça ne fait rien, Monsieur Jean, je n’ai presque rien vu de toute façon, il me rassura, les yeux brillants.
    
    Une grosse et longue bosse déformait son short. Décontenancé par cette virilité exubérante, je détournai mon regard vers le jardin. Lui et moi étions aussi perturbés l’un que l’autre.
    
    — Heu !... Je compte sur toi pour rester discret sur cet incident. Personne n’a besoin de savoir ce qui se passe chez moi, je chuchotais.
    
    — Bien sûr, Monsieur Jean ! Vous pouvez compter sur moi, il m’assura.
    
    — Bon ! Si on mangeait maintenant ! Je dis, un peu rasséréné par l’attitude compréhensive de Manu.
    
    Sophie ...
«1234...11»