Les racines du mâle (1)
Datte: 22/08/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... trempé de flaques de sperme et je me suis enfuie dans la salle de bain, une main sur la chatte pour ne rien laisser échapper. Je me suis douché puis, pendant que la baignoire se remplissait, j’ai mis un drap propre. J’ai versé du savon moussant pour cacher ma vulve rouge et enflée, redoutant que tu viennes me voir. Ça n’a pas manqué ! J’étais encore excitée et honteuse de ce que je venais de faire. Tu bandais. Je t’ai fait l’amour en pensant à lui. Les jours suivants, j’ai tout fait pour être une bonne épouse et te rendre heureux. Je voulais qu’il revienne.
— Pour te faire tringler par sa grosse queue, salope ! J’assénais, cruel.
— C’est vrai, c’est ce qui me motivait au début, mais plus maintenant. Tu as bien dû te rendre compte que je ne me forçais pas, surtout depuis que tu m’encules, elle précisa avec un petit sourire entendu.
— Ouais, peut-être ! Je bougonnais. Tu l’as revu après ? Je lui demandais, espérant qu’elle répondrait « non ».
— Oui ! Il est revenu quand tu allais beaucoup mieux, deux semaines plus tard. Plus je te rendais heureux, plus il venait me baiser. Il faut croire que j’étais devenue une parfaite épouse, car il lui arrivait même de passer le soir quand tu étais au sport. Je coulais comme une fontaine dès que j’entendais sa camionnette se garer dans l’allée. Et puisque je t’ai promis de te dire la vérité, la semaine de ton séminaire, en avril, il a pris un congé et m’a baisée, jour et nuit. Il était infatigable ! Quand il m’a prise par le ...
... cul, j’ai tout de suite adoré. Il m’a encouragée à le faire avec toi en disant qu’une bite plus fine me procurerait d’autres sensations. Voilà, c’est tout ! Je ne sais pas quoi te dire de plus, à part que je t’aime et que je regrette d’avoir été une mauvaise épouse.
— Tu l’aimes, lui aussi ? Je demandais, abasourdi par ses révélations.
— D’une certaine façon, oui ! Avec lui, je me sens femelle.
Je ne demandai pas comment c’était avec moi. Je craignais sa franchise.
— Tu m’en veux beaucoup ? Elle demanda, les yeux mouillés.
— Qu’est-ce que tu crois ? Je lançais d’un ton rogne.
— Nous étions si heureux ! Je voudrais tellement que tu me pardonnes, elle sanglota.
— Je ne sais pas encore si je veux te pardonner. Lui, c’est différent, je n’arrive pas à lui en vouloir. Il nous a obligés à changer et à nous découvrir.
Elle me regardait avec des yeux de biche acculée. Je pris ma respiration et me lançais.
— D’accord ! Plus de faux-semblants ! Je t’aime et je ne veux pas te perdre, ma chérie, ni te rendre malheureuse en te privant de lui, j’avouais d’un ton grave.
Elle me regarda, surprise, tandis que j’ouvrai la ceinture de mon pantalon.
— Une dernière chose, ne lui dit pas que je suis au courant, cela nous mettrait dans une situation impossible et ça gâcherait tout... Suce-moi, salope ! J’ordonnais, sur un ton faussement méchant.
Son visage d’ange s’éclaira. Elle saisit fébrilement ma bite en érection dans ses doigts fins et la porta à sa bouche. Au ...