1. Pucelle libertine - 2


    Datte: 08/08/2022, Catégories: fff, fhh, copains, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fsodo, init, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... d’été. Surtout, méfie-toi de certaines influences qui ne veulent pas que du bien.
    — Pa chéri, c’est comme cela que je l’entends.
    — C’est très sage. Je peux te pistonner.
    — Non merci Pa. Tu sais quoi, j’ai un copain.
    — Pas une fille, un vrai petit ami ?
    — Presque, disons qu’il est bien élevé, prévenant, bref, il me plaît.
    — Y sont tous comme ça au début.
    — T’étais comment quand t’étais jeune ?
    
    Il ne peut s’empêcher de sourire.
    
    — Ne fais pas l’effrontée, s’il te plaît !
    — Effrontée ? Tu lui as fait quoi ? demande Maman qui arrive.
    — Une petite discussion. Pa me trouve insolente.
    — Mon chéri, nous avons à parler chiffons, ta fille et moi.
    — J’aime autant ne rien entendre. Je suis dans mon bureau.
    — Caro chérie, raconte, hier, ça c’est bien passé ?
    — Oui. Il a été d’une habileté… Une lettre à la boîte… Je n’ai rien senti ni saigné.
    — Comme moi.
    — Tu sais quoi, nous avons recommencé, je n’ai pas eu le plaisir attendu.
    — T’inquiètes ! nous sommes beaucoup de filles ainsi. Aide-toi, manuel, quand il officie…
    — Hein !
    — Tu veux un dessin !
    — J’ai compris. Il risque d’être fâché dans sa virilité.
    — Parlez-en ensemble et si c’est celui que tu décris, il t’écoutera et vous serez merveilleusement heureux pour longtemps…
    
    Maman se croit dans un film, ma parole ! Ou c’est d’elle qu’elle parle ?
    
    — Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ! me moqué-je d’elle.
    — J’espère bien être grand-mère !
    
    *
    
    Le vendredi aprèm, au club, Jessica me regarde, ...
    ... interloquée :
    
    — Tu fais quoi là ?
    — Mets la musique de strip-tease.
    
    Elle comprend de suite mes intentions. Je suis habillée de ma tenue d’ancienne pucelle bien sage. Robe col Claudine, culotte et socquettes de coton blanc, baskets.
    
    À la barre, je jette d’abord les baskets, les socquettes, la culotte. La robe finit à mes pieds et moi à poil. Jess applaudit. Le patron aussi :
    
    — J’ai bien fait de passer par là. Caroline, nul doute que vous allez chauffer les esprits.
    — Merci patron.
    
    Le voilà parti.
    
    — Caro, ton regard doit dire au public que tu vas faire l’amour avec lui. Comme quand tu promets à ton chéri. Ça remue les tripes à chacun.
    — À chacune aussi.
    — La gouine a parlé, rit-elle. Le hic, ta robe n’est pas prévue pour le strip. Rhabille-toi et recommence dans l’ordre que je te dirais.
    
    Sans musique, c’est dur, je fais sous les conseils de Jess et constate que pour garder l’élégance du geste, ce n’est pas simple. Et on recommence en musique.
    
    — Ton regard ! Tu promets au public le nirvana.
    
    Quand je suis nue, je me love à elle :
    
    — On se met où ?
    — Mets ta culotte et fais des étirements !
    — T’avais promis, fais-je la moue.
    — T’attendras ce soir. Jeudi prochain, nous passerons la journée ensemble pour le problème vestimentaire et tu bosseras le strip, me regarde-t-elle intensément.
    — Pas de souci !
    
    *
    
    Je ne parle pas de ma virginité envolée. Je stresse d’aller de but en blanc dans une orgie. Autant je suis à l’aise aux barres, autant j’ai la ...