1. Pucelle libertine - 2


    Datte: 08/08/2022, Catégories: fff, fhh, copains, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fsodo, init, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... galoche Alban tout en lui rappelant :
    
    — Demain, tu me déflores.
    
    Plus tard, nous avons philosophé sur le rôle du sexe dans la vie tout en grignotant des cochonneries.
    
    — Vous trouvez ça normal de prendre goût à sucer quand on me fait un cunni ? J’ai l’impression qu’il me manque quelque chose pour parfaire mon plaisir, dis-je.
    — Tu aimes, tu fais, point barre ! Moi, j’aime qu’on me roule les tétons quand on me baise. Et toi, Al ?
    — J’aime beaucoup la levrette, je tiens les hanches de la fille comme un gouvernail, je suis le capitaine d’un yacht sous les tropiques…
    — Caro, tu sais ce qui va t’arriver !
    
    *
    
    Le soir, je suis retournée dans mon une-pièce d’étudiante, je veux être seule avec mon pucelage une dernière nuit. Une petite masturb pour m’endormir. Même pas fait un cauchemar ! Le soleil brille en plein, j’enfile une petite culotte de coton si confortable, si innocente. Une robe col Claudine très sage, socquettes blanches et baskets roses complètent la petite culotte. Plus innocente que moi, tu meurs !
    
    À la coloc, Edwige :
    
    — La vache ! Caro, t’en jettes ! Tu devrais faire un strip-tease comme ça !
    
    Elle a l’esprit pratique. Au moins, c’est un compliment.
    
    — T’es trop belle, me sourit Alban… Et très sexy !
    
    Comment qu’il me voit ? Au moins, c’est un compliment.
    
    — Je vous plais, c’est déjà ça. Alban, t’as prévu quoi ?
    — Bin heu… Je bande plus… J’ai tellement bandé toute la nuit, que… Plus rien !
    — Si tu fais pas, je lui fais avec un gode, ...
    ... menace Edwige.
    — Ça se fait pas avec un gode, s’inquiète-t-il.
    
    Je lui prends la main :
    
    — Oui, je veux un garçon bien élevé, charmant et tout et tout. En plus, mon cœur est ému de toi. Je t’aiderai à surmonter ce moment.
    
    Edwige nous pousse dehors sans vergogne :
    
    — J’en ai assez entendu. Allez faire vos cochonneries ailleurs. Caro, tu me raconteras.
    
    Enfin…
    
    — Caroline, j’ai retenu dans une petite auberge repaire d’amoureux.
    
    Je ne relève pas le fait qu’il connaisse ce genre-là. J’espère qu’il ne va pas me baratiner tout un tas de niaiseries d’amoureux transi.
    
    La route finit dans un parc boisé devant une auberge et sa terrasse au bord d’un étang où des barques échouées donnent une touche romantique. Le silence fait frissonner. On s’attend à voir surgir du sous-bois quelques créatures d’un autre temps. Instinctivement, je serre la main d’Alban.
    
    La patronne nous tend les clés de la chambre en nous précisant que le repas est dans une heure. La chambre est coquette, désuète, deux bouquets de fleurs, une odeur de linge propre, de cire. Une chambre de nana, non, pardon, une chambre pour amoureux. Mon corps est prêt pour le sacrifice, mon âme, pas tout à fait, mon estomac, pas du tout. Alban est à l’unisson.
    
    Le repas est excellent, les aubergistes super sympas, d’autres couples partagent le service feutré, nous sommes dans un autre monde. Il y a notre bulle à tous les deux, qui, sexuellement émotionnelle ne demande qu’à éclater.
    
    Pour retarder le moment, nous ...
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