Pucelle libertine - 2
Datte: 08/08/2022,
Catégories:
fff,
fhh,
copains,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fsodo,
init,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... faisons un petit tour autour des barques. Nos esprits se sont rejoints pour l’histoire sans paroles.
Fébriles, nous nous sommes déshabillés mutuellement.
— Ça te va trop bien le coton.
Je l’ai sucé un petit peu puis il a pris les choses en main avec la langue. J’étais chaude grave, au bord de l’orgasme quand, en missionnaire, sa queue me pénètre facile, s’enfonce, s’enfonce… Je ferme les yeux me raidis, me cramponne à ses bras, et le voilà à fond. J’ouvre les yeux, Alban me regarde pour déceler une réaction. Je demande d’une petite voix :
— T’es à fond ?
Il donne un coup de reins :
— Oui. Tu sens quoi ? Ça va ?
— Bin oui. Retire-toi, s’il te plaît.
Nous constatons que pas de sang. Pas de douleur… Il me regarde dans l’indécision, je l’encourage :
— Continue, on verra bien…
Il me re pénètre en douceur et profondeur, me lime de plus en plus vite. Je participe à son orgasme sans avoir la grande extase. Je me fais une raison. Lui non plus ne doit pas avoir eu l’orgasme du siècle avec cette tension. Quand, dans les alcôves, je vois les filles pénétrées et limées en extase, je me dis que cela va venir. Je le galoche tendrement :
— Alban, tu as été génial. Merci.
Quand je reviens des toilettes, il me regarde amoureusement :
— J’ai lu beaucoup sur la perte de virginité. J’ai appris des choses étonnantes.
Il a pris son rôle au sérieux, je tente de le rassurer et de le sublimer :
— Tu sais quoi, je me suis peut-être déchiré l’hymen avec un ...
... tampon… En tant que premier homme, tu m’as libérée dans ma tête.
— Physiquement, tu ne sens rien d’anormal ?
Je marche, me baisse et dis :
— J’ai toujours l’impression d’avoir ta queue dans mon sexe ! Un gode invisible. Au fait, je peux m’en offrir un maintenant.
— Je t’offre ton premier vibro. D’ac ?
— D’ac ! C’est comme si tu me laissais ta queue avant de partir au loin.
Nous rions en nous embrassant. Je compte sur mes doigts :
— On va essayer l’Andromaque, la levrette, et tous et tout… T’inquiète pas, je n’oublie pas la fellation, j’aime trop. Et tu sais quoi, nous allons libertiner ensemble.
Tout nouveau tout beau…
*
Le lendemain, à la coloc, Edwige veut des détails.
— Ça, c’est fait, comme une lettre à la boîte, lui dis-je désinvolte.
— C’est tout ?
— Alban a été d’une délicatesse, j’te dis pas.
— Forcément, il t’aime.
Un ange passe. Personne ne veut entendre parler de sentiments trop sérieux.
— Fais voir ton nouveau savoir.
C’est Alban qui râle :
— Les filles, je ne bande pas 24 sur 24.
Je galoche Ed en lui disant :
— Maintenant, je vais te faire concurrence !
— Faut que je me trouve un mâle vite fait ! rit-elle.
*
C’est devenu un rituel. Le jeudi soir, chez mes parents. Pa est là.
— Ta mère va pas tarder. Caroline, je voudrais te dire un petit mot.
Ouille, je n’aime pas quand Pa m’appelle par mon prénom en entier.
— Au cabaret, tu fais très bien ce que tu as à faire, mais il faut que cela ne reste qu’un job ...