Pucelle libertine - 2 - Histoires de Sexe

Pucelle libertine - 2

... ferez un joli couple libertin. Il n’attendait que ça, une fille qui porte la culotte…
— Mince, j’en mets rarement…

Elle éclate de rire :

— T’es pas un peu beaucoup conne par moment ?

Je ne trouve qu’une réponse, je la galoche, elle m’invite :

— J’allais prendre ma douche, tu me frottes le dos ?

Nous nous sommes frotté le dos, le clito et le reste.

— Caro, nous nous connaissons depuis quinze jours à peine, on a l’impression qu’on se connaît depuis toujours.
— Nous sommes faites l’une pour l’autre.
— Tu sais quoi, on se marie, on fait d’Alban notre esclave.

Le v’là qui fait son entrée :

— C’est qui vous voulez faire votre esclave ?

Il n’est pas surpris de nous voir à poil à rigoler.

— Toi, pardi !
— Vous me foutez les jetons ! En échange de quoi ?
— De déboucher l’évier, les w.c., sortir la poubelle, t’auras droit à tout plein de gâteries.

Nous nous caressons devant lui.

— Je bande déjà ! Les filles, j’ai un truc à vous dire, mais avant, la douche, tout seul, s’il vous plaît, ça ira plus vite.

En cinq minutes, c’est fait. Il revient nu et bandant.

— C’est prometteur, dit Edwige en montrant la raideur.
— Vous allez me manquer ! dit-il, les mains sur les hanches.
— Tu nous quittes pour une nana ! Salaud !
— Mais non, le boulot. Je pars pour quinze jours en déplacement à l’autre bout du pays pour de la maintenance estivale. Je n’ai pas refusé, car c’est mon futur emploi.
— T’as raison, le boulot c’est le boulot, dis-je.
— Tu ...

... parles ! Y va céder à la petite serveuse aguichante de l’hôtel, ironise Edwige.
— Une fille dans chaque port ! répond-il moqueur.
— Ouais, hé bin, nous, un claquement de doigts et on a dix mecs à nos pieds !
— Ça va sentir le cul, faudra aérer, se moque-t-il.

Nous sautons sur lui dans une fausse colère… Il me plaît de plus en plus ce garçon.

Nous finissons par rouler sur le sol. Ed à cheval sur sa bouche, moi le suçant. Puis on change. Elle en profite pour passer en Andromaque, moi toujours accroupie sur la bouche, nous pouvons nous galocher. Je peux lui titiller le clito, Alban le mien…,

Nous formons un triangle en Andromaque. Un orgasme triangulaire. Trop chouette. Nous nous séparons avec regrets.

Un brin de toilette. Edwige enfile une robe :

— Je vais faire deux trois courses. Profitez-en !

La fine mouche, elle nous laisse en tête à tête.

*

C’est moi qui lui claque une fesse :

— Dans toutes les boîtes, y a des nanas friandes de beaux mecs.
— Caroline, quand on fait de la maintenance dans une boîte pendant ses vacances, on n’a pas le temps de s’amuser, c’est 24 sur 24. Pas de gaudriole.
— Il arrive un moment où tu dois te changer les idées sinon tu deviens chèvre.

C’est ma façon de lui dire qu’il a champs libres. Je sors de mon sac la boîte de pilules :

— Tu reviens quand ? On peut prévoir une soirée romantique…
— Tu prévois ça comme une opération chirurgicale.
— C’est bien toi qu’as le bistouri !
— J’avais jamais pensé à cela ! rit-il ...