Pucelle libertine - 2 - Histoires de Sexe

Pucelle libertine - 2

... amoureuse, toi ! Tu prends bien ta pilule, tu veux un conseil ?
— M’man, je t’adore, je sais me débrouiller. T’étais trop belle à la barre. Fifka t’apprécie beaucoup.
— C’est une chic fille.

Papa revient avec les coupes glacées. Je tiens à mon idée de curieuse :

— M’man, dis-moi, vous avez fait quoi samedi en vrai pour finir la soirée ?
— À ton avis, on fait quoi dans un club libertin ?
— Pa, dis-moi, s’y te plaît…
— Nous avons des amis libertins que nous rencontrons de temps à autre, qui sont parents avec des enfants moins curieux que la nôtre.

J’étais contente de moi :

— Mes parents, je vous aime !

*

Il faut que je me fasse à cette idée que les parents ont une vie qui ne regarde pas les enfants.

*

Le mardi, je rejoins Edwige chez elle peu avant midi. Alban doit être là vers les 15 heures.

Nous décidons de l’accueillir en mini minijupe et seins nus.

— Tu vois pas qu’y nous ramène une nana.
— On aurait l’air con, rigole Ed.

Je lui raconte la fête, mes parents.

— C’est du lourd. Tes parents sont super branchés. Quel bol !
— Ed, demain, je veux qu’Alban me déflore, tu me le prêtes la journée ?
— Garde-le !
— C’est ton coloc, qui paiera sa part ?
— T’as raison. Marché conclu, tu me le ramènes. Pour le loyer, hein ?

Nous nous roulons une pelle pour le sceller.

À 14 heures, nous lui envoyons un SMS :

Nous nous maquillons juste les yeux.

— Y va avoir les couilles pleines, suppose Ed.
— Je vais le sucer et tu le ...

... reprends.

Un coup de sonnette, Alban entre.

— Salut les filles !
— Salut beau gosse…
— Oula, j’ai droit à un accueil de roi. Vous êtes plus que trop belles.

Son regard va de l’une à l’autre en insistant sur le mien un peu plus…

Il nous embrasse sur les joues :

— Je vais à la douche, j’ai baigné dans la sueur tout le voyage.
— Nous allons te savonner.

À deux gants, il se laisse faire plus que complaisamment. Essuyé, nous le jetons sur le lit, je le suce, Ed l’interroge :

— T’as sauté combien de secrétaires ? Et la serveuse de l’hôtel, hein !
— Il n’y avait que des mecs. Pas vu de nanas pendant deux semaines…
— Ça va gicler… Fais gaffe Caro !, dit Ed.

En effet, deux semaines qui giclent… Alban arrive à nous dire :

— Les filles, vous êtes des reines !

Ed lui caresse la joue :

— Je ne t’ai jamais connu dans un tel état ! Ça te dope la solitude.
— J’avoue… J’avoue… J’ai pensé grave à vous deux, dit-il en me regardant.
— Tu t’es masturbé…
— Oui, un ersatz de vous.
— Avoue que c’est Caro qui t’a donné des ailes.
— T’appelles ça des ailes, rigolé-je en montrant sa bandaison.

Ed s’empale dessus sans coup férir :

— Enfin une vraie queue !

Elle en ferme les yeux de bonheur. Tournant le dos à Ed, je viens en cunni sur la bouche d’Alban. Seins plaqués contre mon dos, elle se cramponne aux miens. Chacune profitons à notre manière.

Ed soupire un grand coup en secouant la queue molle :

— Rien de tel qu’un vrai bonhomme en chair et en os.

Je ...