1. Formateur est un beau métier – Géraldine


    Datte: 07/08/2022, Catégories: fh, Collègues / Travail caresses, nopéné, occasion, formation, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... suivante et l’élastique de sa petite culotte. Mes doigts se glissent sous le dernier tissu, ils dénichent bien vite un petit bouton rose très sensible qu’ils cajolent, qu’ils agacent aussitôt.
    
    — Aah… vous êtes un… un gros coquin… Viannet…
    — Vous êtes une adorable coquine, Géraldine…
    
    Elle tourne la tête vers moi pour ajouter quelque chose, mais je la prends de vitesse en prenant ses lèvres dans un long baiser langoureux qu’elle ne refuse pas, tandis que ma main caresse doucement un sein et que l’autre la masturbe délicatement.
    
    Ses ondulations deviennent plus amples, sa respiration s’accélère. Enfin ses mains daignent se poser sur moi, sur mes hanches, comme pour m’empêcher de partir, ce qui n’est absolument pas mon idée du moment.
    
    Mes doigts sont détrempés de cyprine, Géraldine gémit de plus en plus, me laissant dévorer ses lèvres, me laissant jouer avec ses seins que je caresse, que je pétris, ses tétons que je taquine, que je pince, que je torture finement.
    
    — Aaaah !
    
    Un long gémissement sort de sa gorge, tandis que son corps est assailli de tremblements. Je suis fier de moi, elle est en train de jouir, de se laisser complètement aller, de se laisser envahir par ce plaisir qui la submerge, qui la ravage.
    
    Elle se tortille sous mes doigts qui exacerbent son clitoris en feu. Enfin, ses lèvres cherchent les miennes, elle brise peu à peu ses liens, mes mains rivées, agrippées à mes hanches, se frottant impudiquement contre ma verge.
    
    — Aaaah ! Oooh ...
    ... !
    
    Elle tremble, elle vibre. N’y tenant plus, elle chasse ma main de sa culotte. J’en profite alors pour la retourner contre moi, ses seins plaqués contre mon torse, ses lèvres captives des miennes, mes mains agrippées à ses fesses.
    
    C’est ainsi qu’elle continue de jouir, puis qu’elle s’apaise petit à petit.
    
    Nous restons enlacés l’un contre l’autre durant un certain temps, sa bouche ayant abandonné la mienne. Géraldine niche sa tête sur mon épaule, tandis que je la caresse délicatement. Le temps reste suspendu, immobile.
    
    Soudain, elle pousse un long soupir, puis levant le bout de son nez vers mon visage, elle dit :
    
    — Je commence à mieux comprendre certaines choses… Pour vous, comme pour moi…
    — Lesquelles, par exemple ?
    — Pour vous, le fait que vous ne vous fixiez pas, vous pouvez vous le permettre si vous faites jouir les femmes ainsi. Ce genre de… de jeu vous amuse, n’est-ce pas ?
    — Il ne me déplaît pas, c’est certain, surtout avec une femme désirable comme vous. Mais à terme, j’aimerais trouver la bonne compagne avec qui vieillir. Et vous, quel est votre avis sur la question ?
    
    Géraldine devient songeuse :
    
    — Que je suis passée à côté de certaines choses depuis des années… C’est comme si je me réveillais…
    — Il ne tient qu’à vous de rattraper toutes ces années.
    — Et vous vous proposez de m’aider, c’est ça ?
    — Je peux me sacrifier à cette grande cause.
    
    Ses yeux luisent, elle sourit :
    
    — Les autres formateurs sont comme vous, Viannet ?
    — Non, désolé de ...
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