1. Le gage de ma cousine (1)


    Datte: 05/08/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: LaLouveBleutée, Source: Xstory

    ... ses prunelles olive. Qu’est-ce qu’elle avait dans la tête ? Elle reprit avec un air malicieux.
    
    — Tu choisiras un jeu dans lequel tu es à l’aise et pendant ce temps, je te déconcentrerai.
    
    — Comment ça ?
    
    — Je te chatouillerai, passerai devant la télé, des choses de ce genre.
    
    — Ce n’est pas très loyal.
    
    — Bon comme tu veux, dans ce cas, bon courage pour la vaisselle, répliqua-t-elle sèchement.
    
    Elle se leva et partit du salon. Elle ne m’avait pas laissé le temps d’argumenter. Je ne savais pas si je devais accepter ses conditions, cela me paraissait risqué. Mon portable vibra, Laurie m’attendait. Ma soirée avec elle m’aiderait peut-être à y voir plus clair. J’allais dans ma chambre enfiler une chemise et mettre une touche de parfum.
    
    Lorsque j’ouvris la porte, Amélia se tenait derrière, prête à frapper. Elle inspecta rapidement ma chemise noire et mes chaussures.
    
    — Tu sors ?
    
    — Ouais, j’ai un rendez-vous, répondis-je évasivement. Tu voulais quelque chose ?
    
    — Oui par rapport à ta deuxième chance, tu as raison, ce n’est pas loyal de passer devant la télé. Je te propose uniquement les chatouilles.
    
    — En fait, tu aimes me mettre au défi.
    
    — Oui, c’est plus drôle non ? Et puis avoue que ça t’a plu de devoir me battre.
    
    — Bon d’accord, j’accepte, concédais-je.
    
    Elle n’avait pas tort. Malgré mes résultats décevants, j’avais aimé notre compétition. Amélia hocha la tête, satisfaite, et s’écarta pour me laisser passer. Sa nuisette glissa légèrement, ce ...
    ... qui accentua son décolleté. J’eus le malheur d’y poser mon regard. Ses tétons pointaient sous le tissu fin et semblaient me narguer. Je déglutis et me dépêchai de passer. Si j’avais écouté mon instinct, j’aurais soulevé cette fichue nuisette, pour glisser ma langue sur ses tétons. Je suis sûre qu’elle aurait apprécié.N’y pense pas, tu te fais du mal.
    
    Laurie m’attendait, je devais me concentrer sur elle. J’allai à la cuisine me passer de l’eau sur le visage et manger un morceau. Avant de partir, je vérifiai s’il y avait bien des capotes dans mon portefeuille. Il n’en restait qu’une, ce n’était pas assez. Je retournai dans ma chambre, refaire le stock.
    
    — Ah oui, il promet ton rendez-vous.
    
    Je sursautai. Amélia se tenait devant l’entrée, les bras croisés.
    
    — Et alors, répondis-je sur la défensive, tu m’espionnes ?
    
    — Non, je pensais que tu étais déjà parti et j’ai entendu du bruit. Passe une belle soirée.
    
    Les derniers mots sonnaient ironiquement. Qu’est-ce qu’elle insinuait au juste ? Dérouté, je quittai la maison et montai dans ma voiture. Pour la première fois, je me sentais mal à l’aise à l’idée qu’elle me prenne pour un coureur de jupons. C’est vrai, j’en étais un, mais j’avais toujours évité d’en parler à ma cousine. Peut-être devrais-je lui donner une explication ? Et puis merde, chacun faisait ce qu’il voulait, je n’avais pas à me justifier.
    
    D’un geste rageur, j’allumai le moteur.
    
    A mon arrivée, Laurie portait une robe très courte qui ne demandait qu’à ...