1. Initiation


    Datte: 04/08/2022, Catégories: fff, inconnu, gymnastiqu, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tourmente mes seins secoués de bas en haut. J’ai l’impression qu’ils s’allongent à chaque saut. Je vois Christiane et Christine grimacer aussi en cadence. J’entends les halètements de Kristel qui frisent parfois les gémissements. Pourtant, c’est pour elle que ce devrait être le moins pénible.
    
    Contre toute attente, c’est Michèle qui implore soudain pitié et qui porte ses mains à la poitrine avec l’accord d’Alexandra. Celle-ci nous impose encore une minute de tourments avant d’arrêter notre supplice. Les secondes qui suivent sont difficiles, le sang bat durement dans nos globes(euphémisme !) molestés. La même sensation que celle des glandes mammaires gonflées qui réclament d’être soutirées. Cela passe heureusement assez vite avec l’aide d’un petit massage du bout des doigts des tétons à la base des seins. L’effet est rapide et plaisant.
    
    Tandis que nous reprenons notre souffle et nos esprits, je vois quelques sourires amusés sur les lèvres des copines et leurs regards tournés vers Kristel. Je l’observe à mon tour. Toujours les mains à la nuque, paupières closes, elle sue abondamment et une belle carnation teinte le haut de son buste. Un coup d’œil plus bas m’en révèle la raison déjà remarquée par mes compagnes. Le gousset du joli shorty est devenu un cordon de tissu qui s’enfonce profondément entre les fesses et dans la fente. Deux mignons bourrelets lisses et dodus l’enserrent étroitement. Notre petite postulante vient de s’offrir un orgasme gymnique de ...
    ... qualité.
    
    Christine, qui continue à se triturer les aréoles(pas par nécessité, sans doute, mais c’est tellement agréable) est la première à réagir.
    
    — Eh bien, ma chérie, après le haut, je crois que tu peux quitter aussi le bas. Tu n’as plus grand-chose à cacher et tu seras plus à l’aise !
    
    Revenue sur terre, Kristel se cache le visage dans les mains. Elle ne pense même pas à se rajuster. C’est Brigitte qui, en la prenant affectueusement par le cou, tente de l’autre main de dégager le tissu de sa cachette. Sa douceur quasi maternelle ménage autant qu’il se peut la pudeur de Kristel, mais celle-ci éclate en sanglots.
    
    — Oh mon dieu ! Je ne sais pas ce qu’il m’a pris… Pardon ! Je… Je n’ai pas pu… Je voulais… Je… C’était trop fort ! Mon Dieu, j’ai honte !
    
    Elle pleure à chaudes larmes, la tête dans le giron de Brigitte qui essaie de la consoler par des caresses et de petits bisous sur ses cheveux. Sa persévérance vient finalement à bout du gousset rétif qui refusait de sortir d’entre les fesses.
    
    — Christine a raison, tu sais, ma puce. Tu devrais quitter ta culotte, elle est toute mouillée, lui murmure-t-elle dans l’oreille.
    
    Nouvelle crise de larmes et vives dénégations de la tête. Brigitte lève les mains dans un geste d’impuissance. Je viens à son aide, entourant moi aussi de mes bras les épaules de Kristel. Elle est si bouleversée qu’elle ne réagit pas à cet enlacement de corps nus. Sa peau est douce et chaude. Nos sueurs et nos effluves se mêlent. Elle sent bon. Je pose mes ...
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