Talents cachés - Histoires de Sexe

Talents cachés

... chambre pour quelque temps ? Le temps de trouver un appart correct.
— Bien sûr que non, ma chérie. Tu nous présenteras tes amis ?
— Si vous les invitez, oui. C’est compliqué avec les horaires de boulot que nous avons.
— L’invitation est lancée.

Le jeudi, je rejoins Alban à la coloc qui ne repartira que la semaine prochaine. Je lui saute dessus sans retenue. Jamais je n’ai été si chaudasse avec un garçon. J’ai ruminé un truc, je ne sais si cela va marcher. Je fais d’abord l’urgence, une fellation après la douche. Il est en forme. Me voilà en Andromaque, ça, ça me plaît. Il me tient les seins, ça, ça me plaît, je peux me masturber, cool, ça, ça me plaît. Je sens l’orgasme pointer :

— Prends-moi en levrette !

Trop heureux de me prendre les hanches, il y met du cœur. Mince, mes efforts payent, je suis contente de la réussite de mon plan, qu’Alban ne me juge pas viande morte en étant limée. J’ai toujours ce beurk du sperme qui coule de ma fente, ce n’est pas glamour.

Un peu plus tard, je lui parle de mon avenir éphémère de mannequin photo. Il m’asticote que je vais en faire bander plus d’un.

— Salaud ! C’est pas pour faire bander, c’est pour qu’y z’achètent !
— Mercantile, sourit-il.
— J’ai une surprise pour toi. Al mon chéri, tu…
— T’as dit quoi là ? m’interrompt-il. Al, mon chéri ?
— Pardonne-moi, c’est sorti naturel.
— Al, mon chéri, tu peux dire quand tu veux. C’est ça la surprise ?
— Non, Al mon chéri. Euh si, un peu, dis-je d’un souffle.

Je suis ...

... tellement contente de tout ce qui m’arrive que j’ai parlé trop vite, je peux pas rattraper. Il en re bande grave, c’est affreux. Edwige n’est pas là pour le calmer.

— Tu m’écoutes ? Je vois beaucoup de pratiques au club. Les garçons semblent adorer la sodomie. Si tu veux me faire, fais, finis-je rougissante comme une pucelle.

Je sais que je suis faux-cul, après la soirée Tchou-Tchou avec les coiffeurs, mais chacun son jardin secret.

— Tu es toujours surprenante. Je ne savais trop comment te présenter la chose, me galoche-t-il. Maintenant ?
— Ça sera fait. J’ai ce qu’il faut, du lubrifiant. Je te fais confiance.

Me voilà à quatre pattes, lubrifiée un peu trop par un Alban très sérieux qui m’écarte la rondelle du doigt puis du nœud et hop, il pénètre délicatement.

— Caro, tu vas ?
— Super bien, pousse, c’est cool, l’encouragé-je.

Il remet du lubrifiant, ça coule sur mes cuisses. Il pousse. À fond, il vérifie s’il peut m’en mettre encore en me tirant par les hanches.

— Han… gloussé-je simulant le plaisir en compliment.

Il murmure en me limant :

— Al mon chéri, Al, mon chéri qu’elle m’a dit… Waouh !

Je me masturbe d’une main, peux même lui chatouiller la couille. Un peu de plus, je lui demandais de faire Tchou Tchou. Et rhan, il m’en soulève de me la mettre à fond. Il se penche, prend mes seins, les pétrit :

— Caro, je t’aime…
— Hon Hon… On avait dit qu’on dirait pas…
— …Ah mon chéri…Caro, je t’aime…répète-t-il en jouissant en de grands coups de ...