1. Promotion Canapé


    Datte: 28/07/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... préparé, mais il a fait une drôle de tête et il a refusé. Selon lui, les vrais mâles n'acceptent pas d'utiliser cet artifice avec les femmes mariées, c'est à la femme de s'organiser. Il m'a dit que je pouvais encore renoncer à ma promotion, mais j'étais excitée maintenant, et je lui ai cédé.
    
    Je lui ai juste fait promettre de se retirer au moment fatidique, et il a promis. Il m'a prise en levrette, agenouillée sur le lit, le visage enfoui dans les coussins pour étouffer mes hurlements. D'abord, il est plus gros que mon mari, ensuite il m'a pénétrée sans ménagement.
    
    Je n'avais pas prévu cette entrée sauvage, je n'avais pas fait le nécessaire, mais cette façon de procéder, à la hussarde, m'a rapidement conquise. Je me suis conformée à qu'il attendait de moi, remuant des hanches en cadence, respirant fort en poussant de petits cris pour l'encourager.
    
    Au moment où il m'a avertie qu'il allait se retirer, j'étais si proche de finir que je n'ai pas voulu. Je l'ai gardé en moi, et son orgasme a déclenché le mien. Vidée, je me suis effondrée sur le lit, pendant qu'il se rajustait.
    
    À ce moment, sa secrétaire est entrée dans la pièce, a ouvert un placard avec une clé qu'elle portait autour du coup, farfouilla à l'intérieur, récupèra une clé USB qu'elle montra au patron.
    
    «Je réalise le montage et je vous apporte le résultat pour le visionner ensemble.» Et elle ...
    ... s'éclipse.
    
    Mon patron me montre les différentes mini-caméras dissimulées dans le décor : «Au cas où, si tu n'avais pas oublié toute tentative de porter plainte. Allez, Delphine, tu ne vas pas rester vautrée ici toute la journée. Au travail, va rejoindre ma secrétaire, elle te dira quoi faire.»
    
    La secrétaire œuvrait dans le fond de son vaste bureau, dissimulée derrière un paravent, occupée à monter le film qu'elle voulait projeter au patron. Je me suis adressée à elle pour savoir quelle tâche me revenait. De son ton narquois et goguenard, elle m'a lancé :
    
    «Prends ma place, réponds au téléphone et trie les dossiers qui sont sur mon bureau.» Elle m'a vexée en me parlant comme à une moins-que-rien, je me suis révoltée :
    
    «Sur un autre ton, je ne suis pas secrétaire, je suis comptable !»
    
    Elle s'est levée, s'est approchée de moi, le regard dur, la moue méprisante, pour me dire, les yeux dans les yeux :
    
    «Tu es la pute du patron, tu es payée pour donner ton cul et fermer ta gueule, pétasse !»
    
    Vaincue, je suis allée m'asseoir à son bureau pour me mettre au travail. Elle m'a suivie, s'est glissée derrière poi pour empoigner mes seins. Étonnée, j'ai levé mon visage vers elle. Elle s'est penchée sur moi pour me déposer un doux baiser sur les lèvres.
    
    «Je t'aime bien, grâce à toi, je vais passer à la casserole moins souvent. Et j'en ai plein le cul du vieux pervers !» 
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