1. Promotion Canapé


    Datte: 28/07/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... à son bureau, me laissant à genoux sur le sol, avec ma bouche et ma poitrine dégoulinantes de sperme.
    
    "Tu peux rentrer chez toi, maintenant, Delphine. Lundi matin, à 7H30, tu embaucheras dans le bureau voisin du mien. Puisque tu as passé avec succès ton test d'aptitude, tu recevras une augmentation. Mes félicitations pour ta promotion."
    
    Sans un autre mot, je me rhabille et rassemble mes affaires. Visiblement, dans sa bouche, c'est un compliment. Et je n'en aurai pas d'autre. Vivement lundi qu'il me baise, ce vieux pervers.
    
    Lundi matin, 7H30 pétantes, je me suis présentée devant mon patron, toute fraîche, et pleine de bonnes intentions. J'avais bien réfléchi pendant le week-end aux possibilités de promotion qu'il me proposait, et je voulais sortir mon couple de la galère financière.
    
    Il s'est levé pour m'accueillir, m'a embrassée en me pelotant et m'a entraînée dans le bureau voisin du sien. Surprise, ce fameux bureau voisin était en fait un lieu de repos, équipé d'une couchette et d'un cabinet de toilettes.
    
    Mon patron s'est effacé pour me laisser entrer la première, il a profité de mon hésitation sur le pas de la porte pour me caresser les fesses en me propulsant à l'intérieur. Il n'a pas perdu de temps en vain cérémonial pour se dénuder le bas du corps, pantalon et slip. Après tout, on était là pour baiser, n'est-ce pas?
    
    Je l'ai imité aussitôt. J'avais soigné la présentation de mes dessous, avec un ensemble coordonné, soutien- gorge à balconnet, minuscule ...
    ... culotte, et bas retenus par des porte-jarretelles. Dessus, une simple robe portefeuille, facile à dégrafer et rapide à ôter.
    
    Mon expérience de vendredi m'avait apprise qu'il était capable de produire une importante quantité de sperme, et je n'avais pas beaucoup de tenues de rechange. D'ailleurs, j'avais eu beaucoup de mal à ravoir mon chemisier taché de foutre. Mon patron s'est installé, jambes écartées, dans un profond fauteuil, en disant :
    
    «Approche, Delphine !»
    
    J'ai saisi un coussin qui traînait sur la banquette-lit, je l'ai jeté à ses pieds, et je me suis agenouillée dessus. Son sexe est au repos. Je le saisi, décalotte le gland, et le prend en bouche immédiatement. Je fais ça avec mon mari, j'adore le sentir grandir dans ma bouche.
    
    Je le garde simplement en bouche, et je le caresse en passant mes mains sur ses cuisses, son ventre. À ce moment, il commence à grossir dans ma bouche, je lui masse les bourses. Quand il devient trop gros, je le tête bruyamment en salivant généreusement. Mon mari adore cela. Les hommes fonctionnent tous de la même façon, j'applique la même technique sur mon patron, qui me confirme son contentement en respirant fort, et en appuyant sur ma nuque pour me maintenir en place.
    
    Quelques minutes à peine, et il me repousse : «Stop, je ne vais pas tenir longtemps dans une bouche pareille !»
    
    Il m'a penchée en avant sur la couchette, le ventre collé à mes fesses. Avant qu'il ne me pénètre, je lui ai présenté le préservatif que j'avais ...
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