Promotion Canapé
Datte: 28/07/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... outrance tandis qu'il aspire à baiser ma bouche. Je sens mon corps s'embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Puis je fais courir ma langue de haut en bas le long de la colonne de chair comme je le fais pour mon mari, avant d'engloutir sa viande d'un coup en m'écartelant la bouche.
Avec mes lèvres serrées, je le laisse profiter de l'humidité et de la chaleur de ma bouche autour de sa queue. Puis je commence à le sucer correctement. Aussi fière que je sois de mes compétences professionnelles, je suis tout aussi fière de mon aptitude de suceuse de bite et M. Fourreur commence à l'apprécier.
D'une main je serre doucement en massant ses boules. J'ai envie de me toucher la chatte, mais je suis entièrement absorbée par sa queue. Tellement absorbée que je n'ai pas vu M. Fourreur appuyer sur un bouton de son interphone pour appeler sa secrétaire.
Je m'arrête rapidement quand je l'entends entrer, seulement pour me rendre compte qu'elle tient un appareil photo dans ses mains, et que cette salope a le même sourire cynique qu'elle avait quand je suis arrivée. Une petite tape de mon patron derrière ma tête me ramène à mon ouvrage, tandis que sa secrétaire nous tourne autour, prenant des clichés de ma fellation sous tous les angles.
Ma libido reprend le dessus et bientôt j'oublie l'autre salope de secrétaire. J'ai envie qu'il me gicle dans la bouche. Cette idée me submerge et m'enflamme. Alors, je me mets à le ...
... pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J'en bave.
Agrippant fermement sa queue à la base pour le contrôler, retenant mon souffle, je me soulève légèrement pour aligner ma gorge avec son érection et soulager ma bouche, résistant au besoin instinctif de bâillonner. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement.
Elle m'excite; ça me rend folle. Je le pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Le gland glisse dans ma gorge et mes lèvres touchent son pubis humide. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application.
Je peux sentir qu'il est sur le point de jouir, et tout ce que je peux faire, c'est espérer qu'il finira avant que je meure du manque d'oxygène. Il râle, ses mains s'accrochent dans ma chevelure, et il décharge de long jets de sperme au fond de ma bouche.
Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide saumâtre et visqueux. Il faut que j'avale tout de lui. Sa charge est énorme, et je fais de mon mieux pour tout avaler, mais je peux sentir que ça déborde au-delà de mes lèvres, coulant vers mon menton et ma poitrine.
Maintenant repu, M. Fourreur se retire de ma bouche et range son outil dans son pantalon, d'un geste congédie sa secrétaire, et retourne s'asseoir ...