1. Et Dieu créa la femme !


    Datte: 22/07/2022, Catégories: cadeau, candaul, amour, Oral fantastique, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... qu’il a vu dans tant de vidéos pornos. Son sexe est tendu. Il fait le tour de la table et d’un mouvement étouffe les cris de Mamour.
    
    Les pervers ! Les vicieux ! Voici Mamour possédé de part et d’autre, coincé entre deux feux, labouré par deux mandrins qui lui remplissent la gorge et son petit trou.
    
    On n’entend plus que les soupirs et respirations des deux mâles qui baisent une petite salope, Mamour…
    
    Mamour ne proteste pas. Sa main s’est glissée vers son sexe et le caresse.
    
    De longues secondes, des minutes où le trio se démène. Et puis un cri, celui de Marc qui éjacule dans le cul de Mamour, suivit de peu par Chéri qui déverse son foutre dans une gorge accueillante. Enfin Mamour qui jouit.
    
    Mamour éjacule avec puissance, son foutre jaillit avec une telle puissance qu’il semble monter dans les airs. Il monte et retombe sur son torse. D’autres jets suivent mais n’ont plus la même force. On aurait dit que la première giclée avait sa propre vie, chargée d’une puissance surhumaine.
    
    Les trois hommes reprennent leur souffle. Ils se sourient. Mamour embrasse son mari puis son amant. Avec ces deux hommes, il partage le foutre de Chéri. Mais déjà leurs pensées convergent vers une suite…
    
    Trio d’hommes. Semence perdues pour l’espèce, la reproduction…
    
    Et pourtant…
    
    Épilogue
    
    Le foutre jaillit comme une fusée. Il faut un regard acéré pour remarquer qu’il rencontre et souligne comme une lumière qui ...
    ... plane au-dessus du trio. Un regard encore plus acéré, initié des spectres, des émanations, des anges, aurait remarqué que l’ange qui plane au-dessus est aspergé par la semence et qu’un partie touche ses lèvres de chérubin.
    
    La lumière s’assombrit, paraît plus lourde, se déplace, traverse une muraille, s’étire pour tomber sur le sol.
    
    Alors de cette lumière monte une silhouette. Silhouette d’abord informe, puis plus précise. Un corps, un corps de femme… À chaque seconde l’apparition se concrétise, prends vie. Une Ève, une Ève magnifique, parfaite. Parfaite mais sensuelle, pas l’Ève de Botticelli, debout sur un coquillage cachant de ses mains, sa poitrine et son sexe. Non une Ève en plénitude, poitrine et tétons dardés, ventre légèrement arrondi avec un sexe qui est comme une offrande.
    
    La semence de Mamours ne s’est pas perdue. La nature, divine ou pas emprunte parfois des chemins inattendus. La semence a contribué à la naissance d’une femme. Une femme dont la mission est de ramener sur le bon chemin les hommes égarés.
    
    Elle va avoir du travail !
    
    Elle ouvre la porte qui donne accès au salon où les trois mâles sont déjà dans le scénario suivant. Mamour guide son mari pour qu’il enfile Marc…
    
    Ils tournent la tête. Chacun voit une personne différente. La pièce se remplit de phéromones…
    
    Note de l’auteur
    
    En aucun cas ce texte ne doit être pris comme une critique contre les homos, gays, trans, lesbiennes… 
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